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Compte rendu de la journée du

SAMEDI 25 OCTOBRE 2014

MONSIEUR CYRIL CASULA

TITRE DE LA CONFERENCE :

LE PROJET OSPAN

OBSERVATIONS ET STATISTIQUES

DES PHENOMENES AEROSPATIAUX NON IDENTIFIES 

 

 

PROGRAMME DE LA PRESENTATION DU PROJET OSPAN.

PREMIERE PARTIE DE 14H00 A 15H15 :

. Origine du projet OSPAN (deux observations du phénomène ovni par le concepteur du projet).

. Présentation théorique du projet OSPAN.

. Philosophie du projet, objectifs, résultats escomptés, diffusion à l’internationale.

. La « communauté OSPAN ».

POSE : 30 MINUTES.

DEUXIEME PARTIE DE 15H45 A 17H15 :

. Démonstration par Cyril, en direct et filmée, de l’application OSPAN avec retransmission simultanée sur You Tube.

. Début de la retransmission en direct sur You Tube : 15h50.

. Démonstration de l’application Ovnis-Direct par Nagib gestionnaire du site Ovnis-Direct :

http://ovnis-direct.com/

POSE : 15 MINUTES.

TROISIEME PARTIE DE 17H30 A 18H30 :

. Questions du public, échanges, mot de la fin.

 

Le concepteur du projet :

 

 

Cyril Casula.

 

Trajectoire, expérience professionnelle : http://sydgin.wix.com/sydgin#!cv/cvwg

 

Projets : http://sydgin.wix.com/sydgin#!projects/c24sk

 

Site Internet : http://sydgin.wix.com/sydgin

 

Vidéo de présentation du projet OSPAN par le concepteur : https://www.youtube.com/watch?v=JJKdMlbOPX4&feature=youtu.be

 

 

 

PROJET OSPAN

Un projet fédérateur en marche vers une vision globale du phénomène ovni

 

Présentation générale du projet.

SOMMAIRE :

.1) Présentation générale du projet.  

Présentation détaillée du projet : http://www.lesconfins.com/ospan001.pdf

.2) Quels sont les avantages du projet OSPAN ?

.3) Philosophie du projet.

.4) Approche singulière et approche globale.

.5) Pertinence et faiblesse de l’outil statistique.

.6) Historique et rencontres autour du projet.

.7) De Hynek au Google App Store.

.8) L’application.

.9) Système Expert - CLIPS.

.10) Résultats escomptés.

.11) La « communauté OSPAN ».

.12) Projet OSPAN et « science 2.0 ».

 

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.1) Présentation générale du projet.

Les objectifs de ce projet sont doubles. D’une part, il s’agit de généraliser l’utilisation d’une application permettant à son utilisateur, via son Smartphone, tablette ou PC, de faire parvenir instantanément un « pool » de variables relatives à une observation de PAN dans une base de données nationale (plus tard, nous ambitionnons de mettre en place une base de données d’envergure internationale). D’autre part, le second objectif concerne le traitement analytique de ces informations enregistrées dans la base de données (BDD). Cette base pourra ainsi être consultée, analysée et servir de socle pour poursuivre une investigation (contacter les témoins par exemple) approfondie des PANs. L’adjonction à cette BDD d’un programme basé sur un système expert de type CLIPS permettra d’en extraire des conclusions inédites à ce jour.

En partant de ce double objectif nous pouvons cerner la finalité du projet OSPAN :

.a) Permettre à un grand nombre de témoins de communiquer sans contrainte et de façon anonyme s’ils le souhaitent, leurs observations dans des délais quasi instantanés (délais inégalés jusqu’à présent). Une personne peut témoigner au moment même de son observation.

.b) D’enrichir et de standardiser le contenu des témoignages afin de les traiter de manière statistique pour en dégager des constantes ou des structures.

.c) De prendre contact facilement auprès des utilisateurs et de poursuivre des investigations approfondies pour les cas à haute étrangeté.

.d) De démocratiser et apporter un nouvel outil « tendance » capable de vulgariser une discipline encore aujourd’hui considérer comme « sulfureuse » pour un bon nombre de nos concitoyens.

.e) De proposer un savoir-faire analytique à l’ensemble de la communauté scientifique à travers le recueil de ce type d’information, et sensibiliser cette communauté aux questions soulevées par les PANs

.f) Enfin, d’apporter un traitement statistique nouveau pour ce type d’observation, avec la définition d’un système expert propre à ce domaine (jusqu’à présent utilisé en médecine).

Rappelons que les « PANs » sont des Phénomènes Aérospaciaux Non Identifiés, autrement appelés ovnis. Nous utilisons indifféremment dans cette présentation les termes de PANs, ovnis, ou phénomène ovni, avec le même sens.

 

  

Ci-dessus : OSPAN permet à une personne ayant observé un PAN de faire parvenir (via son Smartphone, son iPhone, sa tablette ou son PC), presque en temps réel, un « pool » de variables dans une base de données (BDD) enregistrée sur un serveur dédié. L’adjonction à cette BDD d’un programme basé sur un système expert de type CLIPS permettra d’en extraire des conclusions inédites à ce jour.

 

.2) Quels sont les avantages du projet OSPAN ?

Aujourd’hui, le téléphone portable est partout, accessible à toutes les catégories sociales et bénéficie d’innovations propres à une telle entreprise : transfert intégré des coordonnées GPS locales, capteur d’orientation, couverture du réseau GSM national proche de 99%, prises de vue de grande qualité (auxquelles peuvent s’ajouter l’emploi d’une bonnette spectrographique spécifique à ce type d’appareil), vulgarisation et « effet tendance » de l’utilisation d’applications dédiées (400k applications pour l’I-Phone et 350k pour l’Android). L’objet, sa facilité d’accès, représentent un atout certain dans l’apport rapide (qui peut être dans l’instant) et précis d’un témoignage suite à une observation de PAN. De plus, cette application amènerait sans aucun doute davantage de témoins à se manifester, tant le process qui actuellement permet de récolter ces observations est complexe, fastidieux et contraignant. Aujourd’hui, lorsque l’on est témoin d’un PAN, il faut bien souvent chercher par soi-même la structure adéquate auprès de laquelle apporter son témoignage, et même après de longues recherches sur Internet, le témoin n’est pas certain de tomber sur le bon interlocuteur. Il existe en effet de nombreux groupes et individus qui revendiquent le statut d’« ufologues » et qui n’ont en fait ni l’expertise ni les compétences nécessaires pour gérer de façon satisfaisante un témoignage.     

 

.3) Philosophie du projet.

Le Projet OSPAN ne se limite pas au simple téléchargement d’une application sur un téléphone mobile. Son ambition va bien au-delà, même si l’application est un élément essentiel du dispositif.

Le projet a été pensé dans son ensemble comme la mise en place d’un véritable programme de recherche scientifique pour tenter de comprendre les PANs, ou du moins de mettre en évidence certaines caractéristiques de ces phénomènes encore mystérieux à bien des égards. Chaque phase du projet a été minutieusement préparée et s’inscrit dans un vaste ensemble qui va de la collecte d’informations objectives via une application, une tablette, ou un PC, jusqu’à une analyse poussée des données recueillies (BDD et système expert).

Par ailleurs, le projet OSPAN se veut un projet fédérateur dans la mesure où il offre aux chercheurs un outil universel utilisable par tous et cela indépendamment des interprétations que chacun peut avoir du phénomène ovni. Il offre une approche purement pragmatique éloignée de toute considération théorique et spéculative.

Pour bien comprendre les raisons qui motivent un projet de cette dimension, il importe dans un premier temps de rappeler les deux approches fondamentales des Pans (singulière et globale), et les difficultés inhérentes à leur étude.

 

.4) Approche singulière et approche globale.

Nous pensons que les observations de PANs, qu’elles ne concernent qu’un individu isolé ou tout un pays comme lors d’une « vague » par exemple, ne sont pas des événements indépendants les uns des autres qui ne doivent être étudiés que de façon ponctuelle et séparée. Nous sommes persuadés, au contraire, que chaque événement ufologique singulier s’intègre dans une vaste chaîne d’événements à l’intérieur de laquelle il peut prendre un sens nouveau. Fort de cette constatation préliminaire, le groupe d’experts attaché au projet OSPAN aura pour tâche de mettre en évidence cet autre sens en cherchant à dégager des « structures » générales de comportement, plutôt que d’étudier telle ou telle observation en particulier. Entendons-nous bien.

Il va de soi qu’il n’est aucunement question de privilégier une approche vis-à-vis de l’autre. Pour le projet OSPAN, elles sont au contraire complémentaires. Le travail des ufologues qui consiste à mener des enquêtes sur le terrain auprès des témoins d’observations d’ovnis est une approche fondamentale qui ne peut en aucun cas être  remise en question. Elle reste la source principale d’informations sur le phénomène ovni. Les enquêtes sur le terrain sont irremplaçables car elles nous donnent des informations inestimables sur les caractéristiques physiques des ovnis et sur leurs éventuels effets (physiques et psychiques) sur les témoins.

A cet égard, les déclarations des témoins peuvent être comparées à des « photographies » ou à des « instantanés » d’une scène d’un film. Nous voyons les acteurs du film dans une situation donnée (presque figée) et nous essayons de décrire et d’enregistrer le mieux possible la scène que nous avons sous les yeux. La scène est généralement très brève, et nous ne savons pas ce qui s’est passé avant et nous ignorons ce qui va se dérouler après. Certes, ce moment fugace comporte de très nombreuses informations mais il ne nous permet pas de comprendre le film dans sa totalité.

C’est exactement ce qui se passe lorsque nous menons une enquête sur une observation d’ovni qui s’est déroulée à telle heure, à tel endroit, et dans telles circonstances. Nous étudions un événement singulier qui représente pour l’observateur un moment privilégié. C’est comme si cette scène singulière avait été faite sur mesure pour lui.

Les enquêteurs sont donc confrontés à une scène de courte durée qu’ils n’arrivent pas à intégrer dans un ensemble plus vaste. Si nous ne tenons compte que de ces « instantanés », nous ne comprendrons jamais les PANs. Cette approche singulière est certes nécessaire, mais elle n’est pas suffisante.

Pour tenter de saisir le phénomène ovni dans sa totalité, il importe donc d’adopter une approche globale qui intégrera de très nombreuses observations singulières. Notons enfin que le seul outil à notre disposition qui permette cette approche globale est la méthode statistique appliquée aux cas enregistrés dans une BDD.

 

.5) Pertinence et faiblesse de l’outil statistique.

C’est à la fin des années 60 et au début des années 70 que les ufologues commencèrent à  établir des catalogues compilant les observations d’ovnis. Dès 1966 par exemple, Jacques Vallée étudie des statistiques établies à partir d’une base de données regroupant plus de 600 cas. Entre 1968 et 1969, Claude Poher, aidé de quatre collaborateurs du GEPA (Groupe d’Etude des Phénomène Aériens) lance une étude privée sur près d’un millier de témoignages. A cette occasion, un traitement informatique « clandestin » est mené au sein du CNES. Un programme en fortran (langage de programmation informatique) est écrit et des cartes perforées sont soumises pour traitement aux ordinateurs du CNES. Très vite donc, les scientifiques intéressés par les PANs ont pris conscience de l’importance de l’exploitation informatique des catalogues d’observations d’ovnis, surtout qu’en raison de l’évolution rapide des technologies de l’informatique, les résultats obtenus n’ont pas cessé de s’affiner. Malgré l’intérêt manifeste des études statistiques, les chercheurs connaissaient aussi les faiblesses et les limites de cet outil. Les faiblesses de l’outil statistique proviennent de deux sources principales : .a) les témoins, .b) les enquêteurs.

.a) Faiblesses du côté des témoins.

Le nombre de témoignages enregistrés sur une base de données n’est pas l’image fidèle des manifestations du phénomène ovni. Ce n’est pas une réplique de la réalité. Le nombre de témoignages enregistrés ne reflète en définitive que la propension de certaines personnes à témoigner. Dans la réalité, le nombre d’observations est sans doute plus élevé. Nous savons, par expérience, que beaucoup de témoins ne rapporteront jamais leur observation à un organisme, ou ne seront pas disponibles au moment de faire l’enquête. D’où l’intérêt du projet OSPAN qui par sa facilité d’utilisation aura pour effet d’accroître de façon sensible le nombre de témoignages.

Par ailleurs, nous savons qu’un témoignage comporte une part non négligeable d’éléments subjectifs et des imprécisions dans l’appréciation des éléments objectifs : durée de l’observation, distance de l’ovni par rapport à l’observateur, hauteur de l’ovni dans le ciel (en degrés), dimensions de l’ovni, vitesse de déplacement de l’ovni, conditions météorologiques, etc…

.b) Faiblesses du côté des en quêteurs.

Les enquêteurs privés (des bénévoles le plus souvent) ne disposent pas de gros moyens financiers et matériels pour mener à bien leurs travaux sur le terrain. Ils ne sont pas toujours disponibles quand il le faudrait. Les questionnaires qu’ils utilisent sont loin d’être complets. Par ailleurs, les enquêteurs ne sont pas toujours correctement formés aux techniques de l’enquête.

En dépit de ces faiblesses notoires, c’est en se servant de ce nouvel outil d’analyse que représentait une base de données informatique que Jacques Vallée a pu établir un graphique des « vagues » d’activité des PANs. Il est aujourd’hui évident que la récolte d’informations fiables et précises concernant les observations d’ovnis représente un enjeu considérable. Les scientifiques qui étudient l’énigme des PANs l’ont très vite compris. C’est pour cette raison que la constitution de bases de données informatiques est devenue une activité centrale de la recherche ufologique et que des organismes comme le GEIPAN ou le MUFON par exemple, possèdent des catalogues comportant des milliers de cas. C’est en exploitant ces bases de données que les scientifiques pourront mettre en évidence des structures logiques dans le comportement des PANs. Une évidence s’impose désormais : plus nos bases informatiques seront riches et précises et mieux nous comprendrons le comportement des PANs d’un point de vue global.

 

.6) Historique et rencontres autour du projet.

Le 11 novembre 1980, Cyril Casula, concepteur du projet OSPAN, fut témoin d’un phénomène extraordinaire en compagnie de ses parents. Selon ses propres termes, cette observation initiale d’un PAN modifia en profondeur sa conception de l’univers. En 2004, il rencontra M. Jean-Jacques Velasco, alors directeur du SEPRA (Service d’Expertise des Phénomènes Rares Aérospatiaux entre 2000 et 2004), au sein du CNES, pour des échanges constructifs sur les survols de 1980 à proximité du plateau d’Albion en corrélation avec la sortie de son livre « Ovnis l’Evidence » publié chez Carnot (en collaboration avec Nicola Montigiani). M. Casula effectua ensuite de très nombreuses recherches sur le sujet, lisant des auteurs comme Claude Lavat, Jacques Vallée, Jean Sider, le rapport Cometa, Jean-Gabriel Greslé, Gildas Bourdais, et bien d’autres publications dont certaines sont restées confidentielles. Bien plus tard, le 18 juillet 2011, en compagnie d’un ami anglais, pilote de profession, il fit uen seconde observation bouleversante sur les hauteurs de Digne (04). Ayant contacté le GEIPAN (qui succéda au SEPRA), il suivit la procédure pour établir un rapport de témoignage, procédure qu’il jugea longue et fastidieuse.

Déposition en gendarmerie, validation préfectorale, envoi du dossier dans les locaux de la Gendarmerie Nationale à Paris, puis renvoi du dossier à Toulouse. Deux à trois mois de procédure, à la suite desquels il fut contacté par M. Xavier Passot, actuel directeur du GEIPAN (Groupe d’études et d’information sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés) et par M. Boudier ancien président de la commission Sigma. Finalement, leurs nombreux échanges pointèrent la lenteur de la récolte des informations, et le constat fût qu’il existait un manque certain de cohérence et d’efficacité autour du traitement des observations de PANs. Fort de son expérience dans le domaine médical autour du traitement dynamique des données pour appuyer une aide à la décision, M. Casula entreprit de réaliser une application qui permettrait une récolte des données centralisée, accessible et rapide (la réactivité est en effet un atout essentiel dans le déroulement d’une enquête), ainsi qu’un traitement de celles-ci par le biais d’un moteur d’inférence à chaînage mixte (système expert), où interagissent données entrantes et base de connaissances validée par un comité d’experts, afin de proposer un schéma de possibilités.

 

.7) De Hynek au Google App Store.

Rappelons que la première classification des observations de PANs fût mise en place par le Pr. J. Allen Hynek, astronome et conseiller scientifique du projet BlueBook dans les années 50. La classification retenue pour notre projet s’appuie sur celle de son ami Jacques Vallée, astronome et informaticien français.

Classification de Hynek : http://www.lesconfins.com/Classificationhynek.pdf

Classification de Jacques Vallée : http://www.lesconfins.com/Classificationvallee.pdf

Le premier travail du concepteur du projet OSPAN fût donc de définir une base de données qui puisse être à la fois complétée de manière simple et rapide par un utilisateur n’ayant aucune connaissance de la classification Hynek, et suffisamment détaillée pour en tirer un schéma de probabilités pertinent dans ce domaine de recherche.

Au questionnaire, il appliqua la puissance du Smartphone pour son caractère omniprésent dans la population, ses atouts en matière de géolocalisation, de prises de vue, et sa simplicité d’utilisation. Une application facilement accessible via les boutiques d’application Google et iPhone. Il dégagea ainsi six « familles de données » :

.a) Les coordonnées du témoin, et son désir ou non d’être contacté par un enquêteur expérimenté en vue d’une enquête ultérieure approfondie.

.b) Les coordonnées GPS du lieu d’observation (ou bien de sa position actuelle et résultats du capteur d’orientation).

.c) Un QCM (questionnaire à choix multiples) visuel tactile permettant d’intégrer une classification hybride, propre à orienter très rapidement l’expert vers un type d’observation défini.

.d) Des données visuelles comme photographies, dessins, schémas ou vidéos mp4. Avec l’éventualité d’équiper l’appareil de bonnettes spectrographiques.

.e) L’heure, la date et les conditions météo lors de l’observation.

.f) Un modèle simplifié de « questionnaire d’aide à l’enquête » comme celui qui est utilisé au sein de l’association Ovni Investigation.

 

.8) L’application.

L’application demande à l’installation les autorisations de géolocalisation, d’accès et d’envoi de données personnelles sur la toile.

A l’aide de pictogrammes, de vignettes photo, l’utilisateur circule ainsi de page en page et alimente la base interne de son mobile.

Pour la géolocalisation, le concepteur a utilisé l’API Google (maj : l’api Mapquest) afin de la définir par un simple point & clic.

La définition des données de taille, vitesse, direction, distance se fait à l’aide d’un slider sur une échelle appropriée.

Une difficulté résidait dans l’évocation visuelle du phénomène observé. Ne pas restreindre ou influencer l’observateur dans sa description, tout en permettant une corrélation claire avec le schéma de classification. A noter qu’aucune variable relative à l’impact psychologique sur le témoin n’est présente dans l’application et cette absence est volontaire. Elle pourrait bien sûr faire l’objet d’un addentum au relevé du témoignage.

La partie QCM est reproduite telle quelle, en respectant l’ordre dans lequel les questions ont été définies. Les documents photo et vidéo, par souci de stockage, sont limités en taille et en nombre. Ils sont sélectionnés dans le répertoire de l’appareil.

Les coordonnées personnelles comportent un champ avec lequel l’utilisateur confirme son choix d’être ultérieurement contacté par un intervenant de terrain pour une enquête approfondie. Après confirmation, l’envoi des données se fait sur un serveur dédié (serveur de type Apache - php 5) augmenté d’une BDD (Base De Données) SQL.

 

.9) Système Expert - CLIPS.

Le choix du traitement analytique des données reçues se porte vers CLIPS, développé dans les années 80 au Johnson Space Center de la NASA. Ce choix s’appuie sur une programmation orientée objet, ou par « règles », permettant une grande flexibilité dans sa représentation des connaissances (schémas, graphiques, etc..) et l’élaboration d’un système expert, ou dit « intelligence artificielle ». Les avantages d’un tel système étant de produire des solutions à partir de règles définies appliquées à une base de connaissances et pouvant évoluer au gré des conclusions validées en nouvelles règles. Il permet une approche plus abstraite, moins procédurale, du traitement des données. Il est de plus facilement portable, c’est-à-dire que le programme CLIPS peut être utilisé via différents systèmes et qu'il dispose depuis 2011 d'un interfaçage JAVA permettant une présentation graphique (GUI) au lieu de simples lignes de code.

   

Ci-dessus : Le Projet OSPAN ne se limite pas au simple téléchargement d’une application sur un téléphone mobile ou un PC. Son ambition va bien au-delà, même si l’application est un élément essentiel du dispositif. Le projet a été pensé dans son ensemble comme la mise en place d’un véritable programme de recherche scientifique pour tenter de comprendre les PANs, ou du moins de mettre en évidence certaines caractéristiques de ces phénomènes encore mystérieux à bien des égards. Chaque phase du projet a été minutieusement préparée et s’inscrit dans un vaste ensemble qui va de la collecte d’informations objectives via une application, une tablette, ou un PC, jusqu’à une analyse poussée des données recueillies (BDD et système expert). Le simple fait de télécharger l’application donnera aussi le privilège d’entrer dans ce que nous appelons la « communauté OSPAN », c’est-à-dire l’ensemble des personnes qui participent d’une façon ou d’une autre à ce vaste projet de recherche scientifique sur les PANs. Cette communauté va du témoin qui se sert de son application pour enregistrer son témoignage et enrichir la BDD, jusqu’au scientifique qui fait partie du comité d’experts. Chacun, à son niveau, a son rôle à jouer dans ce programme d’étude et chacun amène « sa pierre » à l’édifice pour faire avancer la science dans la compréhension des PANs.

 

.10) Résultats escomptés.

Le Système Expert - CLIPS, à l’écoute de la BDD hostée, va nous permettre d’analyser les plages horaires, les fréquences, les formes, les catégories d’observations et la géolocalisation des rapports. Il permettra en outre d’établir de véritables « cartes » spatio-temporelles des observations, et à plus long terme, de dégager des structures de comportements des PANS. La finalité de l’outil étant d’avoir une véritable vision globale du comportement des PANs.

Un tri par cohérence et la définition de règles de traitement validée par un comité d’experts, permettra d’écarter les témoignages erronés, ou de mettre en valeur la pertinence des plus courants, comme le phénomène des flashes. Si les risques liés à l’automatisation du traitement des données ne sont pas rédhibitoires, cette automatisation doit prendre en compte la fiabilité des rapports. La fiabilité du rapport d’observation peut être mise en doute si l’utilisateur, ayant installé l’application sur son Smartphone fait parvenir un témoignage dans le seul but d’utiliser l’application à des fins de divertissement par exemple ou de « troller ». « Fabriquer » une observation ; mais cette démarche peut être parée par la création d’un event médiatique autour de l’appli, propre à l’autoréguler, et par un jeu de règles efficace axée sur l’utilisation même de l’application. Elle ne parasite en rien le phénomène des vagues d’apparition concentrées dans l’espace et le temps.

 

.11) La « communauté OSPAN ».

Le simple fait de télécharger l’application donnera aussi le privilège d’entrer dans ce que nous appelons la « communauté OSPAN », c’est-à-dire l’ensemble des personnes qui participent d’une façon ou d’une autre à ce vaste projet de recherche scientifique sur les PANs. Cette communauté va du témoin qui se sert de son application pour enregistrer son témoignage et enrichir la BDD, jusqu’au scientifique qui fait partie du comité d’experts. Chacun, à son niveau, a son rôle à jouer dans ce programme d’étude et chacun amène « sa pierre » à l’édifice pour faire avancer la science dans la compréhension des PANs.

En cela, nous nous sommes inspirés en partie du programme SETI (Search for Extra-Terrestrial Intelligence) qui est une expérience scientifique qui fédère des millions de personnes à travers le monde autour de la recherche de signaux extraterrestres en provenance des étoiles (Le site Internet français du SETI : http://setiathome.free.fr/).

Cependant, contrairement au programme SETI qui attend de façon passive un signal, le projet OSPAN propose une initiative active de collecte de faits (manifestations du phénomène ovni) qui sont déjà répertoriés en grand nombre sur notre planète.

L’intégration d’une personne à la « communauté OSPAN » lui donnera, de facto, la possibilité d’accéder aux résultats de nos recherches, de donner son avis sur ces résultats et de recevoir de façon régulière des informations sur l’avancement de nos travaux. Ainsi, cette personne particepera de façon active à notre programme de recherche sur les PANs.

L’objectif étant de fédérer un nombre important d’acteurs autour d’un projet scientifique et de permettre à ces acteurs de contribuer à l’avancement de ce projet indépendamment de leur interprétation personnelle des faits.

 

.12) Projet OSPAN et « science 2.0 ».

En examinant les tendances de la science la plus avant-gardiste, nous avons trouvé opportun d’établir un rapporchement entre ce qu’il convient désormais d’appeler la « science 2.0 » et le projet OSPAN.

Mais d’abord, qu’est-ce qu’une « science 2 point zéro » ? Cette expression recouvre au moins quatre grands aspects :

1) la promotion d’une  « science ouverte » (une open science) caractérisée par l’accès libre pour tous les internautes à toutes les publications scientifiques arbitrées par les pairs (selon le principe  du libre accès).

2) la mise en place d’une « science en ligne » constituée par le partage en ligne des données de recherche.

3) l’instauration d’une « science collaborative » (ou citoyenne) qui inclut des chercheurs non professionnels dans les projets de recherche

4) l’émergence, enfin, d’une « science 2.0 » qui regroupe les réseaux sociaux et blogs où s’expriment de plus en plus les chercheurs, y compris pour présenter et mettre en débat leurs hypothèses et leurs méthodes.

Il est clair, pour nous, que ces quatre grands axes qui définissent la « science 2.0 » sont en parfaite adéquation avec les fondements du projet OSPAN.

En effet, OSPAN prévoit que toute personne ayant téléchargée l’application pourra accéder librement aux données et aux résultats scientifiques du projet par l’intermédiaire d’une simple consultation en ligne. Le fait de témoigner d’une observation d’ovni à partir de l’application téléchargée sur un téléphone mobile ou un PC fait, de facto du témoin un acteur essentiel (le témoin représente le « socle » indispensable de nos recherches) de cette « science collaborative » ou citoyenne qui regroupe des chercheurs non professionnels. Ce témoin fait désormais partie de la « communauté OSPAN », qui regroupe tous les témoins et acteurs du projet. Enfin, en tant qu’acteur du programme scientifique OSPAN, le témoin pourra donner son avis et formuler des remarques personnelles via les réseaux sociaux et les blogs.   

A l’évidence, l’existence même de ces nouvelles pratiques scientifiques représente une révolution par rapport aux pratiques conventionnelles de la « science 1.0 », qu’on pourrait décrire comme suit : usage consistant à publier les articles dans des revues payantes, données de recherche protégées ou secrètes, exclusion des non-pairs dans les projets de recherche, et confinement de la parole scientifique dans des lieux ou des médias institutionnels très spécifiques (dans des revues ou des livres spécialisés).

Sur ce point, le projet OSPAN est novateur dans la mesure où il cherche à ouvrir la recherche ufologique à un public aussi large que possible avec l’ambition de la sortir du « ghetto » dans laquelle est s’est enfermée (dans les librairies, par exemple, les livres sur les ovnis sont au rayon « ésotérisme »). Il veut lui donner certaine une légitimité et la débarrasser de son étiquette de discipline « sulfureuse ». En informant le public sur les véritables enjeux de la recherche ufologique, OSPAN entend démocratiser l’ufologie en jouant sur la transparence et la participation. OSPAN souhaite ainsi débarrassée l’ufologie des clichés qui lui sont habituellement associés et faire d’elle un domaine de recherche scientifique à part entière.

Chacun des quatre aspects qui viennent d’être évoqués (science ouverte, science en ligne, science collaborative et « science 2.0 ») engagent des questionnements et des problématiques distinctes, même si ces aspects sont connexes et se rejoignent sur le principe de l’ouverture.

Ainsi l’idée d’une science ouverte (libre accès aux données et résultats scientifiques) et celle d’une science collaborative mettent en débat la question des rapports entre science et société, et plus exactement entre science et démocratie, question récurrente à une époque, la nôtre, où beaucoup stigmatisent un climat de défiance entre les citoyens et les citoyens-chercheurs.

Le professeur Ben Shneiderman, spécialiste en informatique, déclare que la « science 2.0 » va modifier la méthode scientifique elle-même et ses schémas de pensée, grâce à la puissance que constitue la mise en réseau des données, une recherche vraiment collaborative qui utilise précisément des outils informatiques « collaboratifs ». Il est temps, nous dit Ben Shneiderman, de sortir de la recherche cloisonnée, confinée aux secrets des laboratoires, pratique qui a défini la science depuis 400 ans, pour faire place à une nouvelle manière révolutionnaire de faire de la science, où les idées et les solutions de recherches seraient mises en commun, comme aussi les données, et ce dans un vaste et continu dialogue entre les citoyens d’un monde nouveau, celui de la cyberscience.

Par ailleurs, nous voyons que nous sommes entrés dans l’ère des « big data » (les « grosses données », mégadonnées ou datamasse), c’est-à-dire l’ère des ensembles de données tellement gigantesques qu’ils nécessitent de nouveaux outils techniques et scientifiques pour les comprendre et en tirer du sens. Nous sommes confrontés à un véritable déluge d’informations que nous sommes désormais capables de recueillir et de traiter.

Nous sommes entrés dans l’ère du pétaoctet (un pétaoctet équivaut à 10 puissance 15 octets), dans l’âge où des quantités considérables d’informations sont stockées dans des « clouds », les nuages informatiques. Le « gigantisme » de l’information traitée nécessite une approche totalement différente, qui nous oblige à concevoir la donnée comme quelque chose qui ne peut être visualisée dans sa totalité. Cela nous contraint à regarder d’abord les données mathématiquement et à établir ensuite leur contexte. Selon le chercheur Chris Anderson, l’analyse mathématique appliquée aux énormes quantités de données qui vont provenir de nos capteurs, de nos outils qui collectent tous nos comportements, de nos possibilités infinies de stockage, de nos « nuages » informatiques, vont transformer les sciences. Car « avec suffisamment de données, les chiffres parlent d’eux-mêmes » écrit-il dans la revue Wired.

Alors que la méthode scientifique classique (la « science 1.0 ») est construite autour d’hypothèses que l’on teste en laboratoire, de modèles et d’expérimentations qui confirment ou infirment les hypothèses théoriques de départ, nous allons désormais de plus en plus avoir affaire à des « données sans modèles » (des données brutes en quelque sorte), qu’on ne pourra pas traiter comme du « bruit ». La thèse audacieuse de Chris Anderson consiste à affirmer que l’arrivée de données massives, à l’ère du pétaoctet, nous permettra de dire : « la corrélation va suffire ». Nous pouvons désormais analyser les données sans faire des hypothèses sur ce qu’elles vont produire. Nous pouvons « jeter » les nombres dans le plus grand réseau d’ordinateurs que le monde n’ait jamais vu et laisser les algorithmes trouver les modèles que la science n’arrivait pas à trouver. A l’appui de son analyse, Anderson évoque l’exemple du séquençage des gènes par Craig Venter, qui est passé de l’organisme humain au séquençage de la vie dans l’océan et au séquençage de la vie dans l’air. Un procédé qui lui a permis de trouver des centaines de nouvelles espèces, de nouvelles bactéries dont Venter ne sait rien : il ne dispose que d’une « alerte statistique », une séquence, qui parce qu’elle n’est pas comme les autres séquences d’ADN qu’il a dans sa base, doit représenter une nouvelle espèce.

Beaucoup de domaines scientifiques (l’astronomie, la physique ou la géologie par exemple) utilisent déjà des flux de données extrêmement vastes, dont seuls les ordinateurs peuvent dégager des tendances invisibles à l’échelle de l’œil humain.

Le projet OSPAN s’inscrit naturellement dans cette nouvelle ère du « big data » en raison de la quantité énorme d’informations dont nous disposons aujourd’hui sur le phénomène ovni.

Avant même que ne soit créée l’application pour téléphones mobiles du projet OSPAN, il existait déjà de nombreuses bases de données (BDD) et des catalogues très détaillés d’observations d’ovnis à travers le monde. Si nous pouvions réunir toutes les données collectées dans ces BDD et ces catalogues, nous verrions immédiatement que nous avons créé un « big data » et que nous avons ainsi formé un « cloud », ou nuage informatique, dont la masse totale de données pourrait facilement se situer entre le téraoctet (TO), ou mille gigaoctets, et le pétaoctets (PO), ou mille téraoctects. A titre d’exemple, notons que le volume quotidien de contenus mis en ligne sur Facebook avoisine les 100 téraoctects et qu’une base de données clients d’une grande chaîne américaine de supermarchés peut stocker jusqu’à 460 téraoctets de données. Avec la sortie de l’application pour téléphones mobiles du projet OSPAN, nous pourrions rapidement assister à une véritable explosion de la quantité de données reçues sur le phénomène ovni. Un article publié en 2012 sur le site Internet du journal « Le Monde », estimait que près de 75 % des habitants de notre planète possédaient un téléphone portable. « Dans le monde, le nombre d’abonnements à la téléphonie mobile est passée de moins de 1 milliard en 2000 à plus de 6 milliards aujourd’hui (2012), dont près de 5 milliards dans les pays en développement », a précisé la Banque Mondiale dans un rapport publié en juillet de la même année. Ces chiffres vertigineux montrent que dans ce contexte, l’application OSPAN pourrait rapidement devenir la principale source d’informations concernant les observations d’ovnis. Certes, tous les utilisateurs de téléphones mobiles ne disposeront pas de l’application OSPAN, mais si seulement une personne sur mille l’utilisait cela voudrait dire que nous disposerions alors de la plus importante BDD jamais constituée sur le phénomène ovni. Et c’est seulement à partir de cette base de données gigantesque que nous pourrions avoir des connaissances nouvelles sur le phénomène ovni, des connaissances qui étaient inaccessibles auparavant.

Daniel Robin

 

 

 

 

 

Compte rendu de la soirée du samedi 5 avril 2014.  

Conférence de Monsieur Philippe Guillemant

 

TITRE DE LA CONFERENCE :

APPROCHE DE LA CONSCIENCE

PAR LA PHYSIQUE DE L'INFORMATION

 

L’interview exclusive de M. Philippe Guillemant (enregistrée le samedi 5 avril) est en ligne aux adresses suivantes :

 

https://www.youtube.com/watch? v=piWWoOi2ev0&feature=youtu.be

 

http://rencontres-sciences-inexplique.com/philippe-guillemant.html

Nous remercions Philippe qui a bien voulu répondre à nos questions et Nagib (Ovnis-Direct) qui a fait le travail de mise en forme de l’enregistrement.

Lors de cette interview, Philippe évoque ses propres expériences de synchronicité et l’influence de Jacques Vallée sur ses travaux. Il expose sa conception de la théorie de l’information (une partie très importante de l’interview). Il traite aussi de la question de savoir si nous sommes plongés dans une sorte de « matrice » contrôlée par une intelligence extérieure à notre univers. Sensibilisé par les travaux de Jacques Vallée, Philippe évoque la question du phénomène ovni et il n’hésite pas à dire « oui nous sommes visités ». Pour lui, c’est à nous à nous préparer à un éventuel contact avec ce phénomène. Lorsque nous aurons modifié notre vision de la réalité, en changeant nos paradigmes, alors seulement nous serons prêts au contact.

Lors de l’interview (25 minutes 50 secondes) nous avons relevé une étrange synchronicité : brusquement l’image devient floue lorsque Philippe évoque la possibilité que des visiteurs extraterrestres puissent entrer dans notre espace/temps à quatre dimensions. En abordant notre espace/temps ils auraient nécessairement, selon lui, une vision « floue » de celui. Après ce passage, l’image redevient nette. La synchronicité est établie entre le flou de l’image et le flou de la vision des extraterrestres dans notre univers. Je n’ai aucune explication qui pourrait expliquer cette anomalie technique. Nous vous laissons découvrir cette interview passionnante qui fera date.

Daniel Robin.

Organisateur des Rencontres des Science et de l’Inexpliqué.

 

Interview de Philippe Guillemant par Daniel Robin (Présidant de l’association Ovni Investigation basée à Lyon) et Nagib Kary (le média Ovnis-Direct), en marge des « Rencontres des Sciences et de l’Inexpliqué ». 

Lyon le 5 avril 2014.

 

Liens : 

http://ovniinvestigation.fr/

http://ovnis-direct.com/

 

Philippe Guillemant est ingénieur de l’Ecole Centrale Paris et Docteur en Physique. Spécialiste d’intelligence artificielle, ses travaux au CNRS ont débouché sur la création d’entreprises innovantes qui lui ont valu plusieurs distinctions, dont le cristal du CNRS. Ses brevets et publications portent essentiellement sur des méthodes de traitement de l’information dérivées de la théorie du chaos et appliquées à la reconnaissance de formes, à l’analyse des mouvements des yeux et à la caractérisation de l’activité cérébrale EEG (calcul du niveau d’éveil). Il effectue aujourd’hui des recherches plus fondamentales en physique de l’information en liaison avec la Théorie de la Double Causalité (TDC). Il est l’auteur de « La Route du Temps » (Le Temps Présent, 2010), un livre dans lequel il propose, entre autres choses, une explication physique de la synchronicité qui établit un véritable « pont » entre la Science et la Spiritualité.

Vous trouverez à l'adresse suivante l'ensemble des travaux et réalisations de Philippe ( impressionnant ! ) :

http://www.philippeguillemant.com/philippe-guillemant/

Physique de la conscience. La physique moderne est aujourd'hui confrontée à une impasse qui remet en question les fondements mécanistes de la science, en phase avec la crise profonde dans laquelle se trouve plongée notre société matérialiste et la vie sur notre planète. Serait-ce un hasard ? Ou serait-ce au contraire les prémisses d'une profonde transformation de notre vision du monde qui va faire franchir à notre civilisation un saut extraordinaire ou la technologie cessera d’ignorer la conscience ? Philippe Guillemant en est convaincu et il nous présentera un modèle d’espace-temps flexible dans lequel la conscience est amenée à jouer un rôle cybernétique fondamental via l’enregistrement, la mise à jour, la création collective de notre réalité ou la navigation dans d'autres réalités extra-temporelles. Ce modèle est issu de sa « théorie de la double causalité », initialement conçue pour expliquer le phénomène de synchronicité, mais qui fournit également un cadre de compréhension à bien d’autres phénomènes paranormaux : d’après Jacques Vallée, il jette les bases de la nouvelle physique de l’information qui va bientôt transformer la pensée de l’homme en lui faisant découvrir les pouvoirs puis les technologies de la conscience, mais aussi une spiritualité naturelle bien plus rationnelle que le matérialisme. Cette nouvelle physique nous dessine déjà, de façon intuitive et algorithmique, une solution élégante et réaliste au grand problème qui agite la physique moderne : l’incompatibilité entre relativité générale et mécanique quantique. La solution proposée est une habile synthèse entre les deux conceptions extrêmes (déterministe et probabiliste) qui emprisonnent les physiciens par une domination excessive des équations sur la mécanique. Leur sortie de prison se fera selon Philippe Guillemant par la technologie, ce qui les obligera ensuite à introduire des concepts équivalents à ceux de l’âme et de l’esprit pour modéliser et simuler numériquement la dynamique d’évolution atemporelle de notre espace- temps local de conscience collective.

 

 

Ci-dessus : le livre de Philippe Guillemant, « La Route du Temps, la théorie de la double causalité » (Le Temps Présent, 2010, collection Science - Conscience).

 

Je vous conseille la visite de l'excellent site Internet de Philippe dans lequel il expose et vulgarise la Théorie de la Double Causalité (TDC) :

http://www.doublecause.net/

 

Voici l'avis de Jacques Vallée sur le livre de Philippe :

Jacques Vallée , Astronome, Ingénieur et Ecrivain - Ceci est en train de devenir un courant dominant de la physique : Le Docteur Guillemant en France est un physicien du CNRS et dans son dernier livre " La Route du Temps ", il développe la thèse que les synchronicités sont dues à une double causalité. Nos intentions causent des effets dans le futur qui deviennent les futures causes d'un effet dans le présent. Je le répète, ceci va devenir un courant dominant de la physique (extrait de la conférence de Jacques Vallée à TEDx Bruxelles - 22 Nov 2011).

 

 

Consultez aussi notre dossier :

DOSSIER N°26

Civilisations extraterrestres

MATIERE, ENERGIE, INFORMATION

et la physique des civilisations extraterrestres.

http://www.lesconfins.com/physiqueinformation.pdf

 

 

 

 

Compte rendu de la soirée du samedi 14 décembre 2013.  

Conférence de Jeanine et Emmanuel Guizzo.

 

 

TITRE DE LA CONFERENCE :

 L'HISTOIRE EXTRAORDINAIRE DE DEUX RENCONTRES   

Et de deux destins bouleversés.

.1) La rencontres avec des êtres de l’espace.

L’histoire commence en 1954 avec la famille Bignon qui est témoin de l’atterrissage d’une soucoupe volante à Cusset (03). La famille est en promenade et, cachée derrière un talus, elle assiste muette d’étonnement, à moins de 100 mètres, à l’atterrissage d’une soucoupe volante. Personne n’en dira mot et l’incident restera enfoui dans les mémoires jusqu’en 1983.

Jeanine Lajeunesse, 7 ans à l’époque, se rappelle encore très bien du lieu, des silhouettes qui sont sorties du centre de ce vaisseau par une échelle puis sont remontées dans la soucoupe qui s’est envolée sans bruit. Jeanine va sans le savoir, être « informée » (un programme sera comme « téléchargé » dans l'esprit de Jeanine) par ce contact rapproché avec ces intelligences extraterrestres. Tous les événements qui vont suivre découlent de cette « histoire vraie » et toutes les découvertes à venir d’Emmanuel Guizzo seront issues de toute évidence d’une « décompression » de ce programme d’information.

.2) La rencontre avec Emmanuel.

En 1983, Emmanuel Guizzo poussé par son destin, rencontre Jeanine à Roskoff dans un stage de Yoga. A l’époque il ne connaît rien aux médecines douces. C’est une « voix » qui va imposer à Jeanine de « s’occuper de lui ». Après avoir étudié son thème astrologique, elle conseille à Emmanuel Guizzo de rentrer dans une école d’ostéopathie qui vient de se créer : l’école Poyet. Et, pour ce fils de commerçant qui voulait devenir comédien, c’est une révélation. Pratiquant parallèlement le Yoga Danse et l’Ostéophonie, deux techniques créées par Jeanine, il va aller très vite dans l’apprentissage de la technique ostéopathique fluidique qu’il va consolider par des études d’acupuncture et d’homéopathie dans l’école de Robert Courbon. Il apprend également l’astrologie. Mais des informations étranges qu’il perçoit dans ses mains lors de manoeuvres ostéopathiques crâniennes demandées dans l’école, vont le perturber jusqu’à la fin de ses études….

 

Les conférenciers :  

Mme Jeanine La Jeunesse est l’auteur de la Danse Biotique et de la Danse des Chakras. Elle est aussi la créatrice du Yoga-Danse, de la Danse et Gym Biotique, et de l’Ostéophonie. 

Confidences : Ma « vie spirituelle » est en fait une vie d’expériences sur mon corps et mon esprit qui m’ont amené à des états modifiés de conscience.
Depuis le plus loin que je puisse remonter dans ma mémoire, j’ai toujours su intérieurement que l’homme était autre chose qu’un « programme » matériel et animal destiné à se nourrir, procréer et inventer des moyens matériels pour habiter l’espace qui l’entoure le plus loin possible sous la houlette d’un Dieu Imaginaire, barbu, rédacteur de textes sacrés et acteur de miracles et ceci, qu’il se nomme, Jésus, Moïse ou Mahomet.


Quelques petits phénomènes et évènements dans l’enfance et l’adolescence m’ont guidés dans ma quête sur ce qui pouvait être un programme plus « intelligent » dans la destinée humaine.
La Musique, le Judo et le Yoga, le Bouddhisme tibétain, la méditation et la philosophie Hindoue m’ont apporté chacun des réponses et à chaque fois une connexion de plus en plus étroite entre le corps et l’esprit et la conviction que la destinée humaine n’était qu’une « école » où des milliers de cours différents existaient et qu’ils n’étaient accessibles qu’en fonction de la programmation karmique de chacun. L’Astrologie m’a permis de confirmer tout cela à mon niveau de connaissances.


Un état modifié de conscience peut arriver au cours de n’importe quelle expérience physique faite sur ce que j’appelle l’Orthofréquence.

L’Orthofréquence est la  connexion totale entre l’énergie physique, l’énergie mentale et l’énergie cordiale (le détachement de l’action), qui permet de « vibrer » sur sa fondamentale, ce moment privilégié « d’absence » qui projette dans un état de vide quantique. C’est la remise en équilibre de son être.
Je crois que j'ai résumé, l’essentiel de mon vécu « spirituel ».

Dans mes cours, autrefois, je disais que le spirituel était la récompense quand on avait bien travaillé, la preuve que notre travail était sur l’axe de la lumière ; la verticalité qui permet de
se caler sur l’Axis Mundi des alchimistes.


Quelques uns de mes Maîtres à penser ont été, entre autres, Sri Aurobindo, Dane Rudhyar, Deshimaru, Durkeim, Maître Uschiba, Jigoro kano, Carl Orff, Pythagore, Ayengar, le Soufisme, Ajit Sarkar, Gabriel Monod Herzen.Je me suis toujours enquise de m’imprégner des philosophies qui sous tendaient les techniques que j’apprenais, que ce soit la Musique, le Judo, le Yoga ou le Kyudo (tir à l’arc japonais). De toute ces techniques et leurs philosophies j’ai essayé d’en ressortir l’essence pour en faire une synthèse moderne et oriento-occidentale, que j’ai appelé, Yoga-Danse, Danse Biotique, Ostéophonie. Suite à ma rencontre avec le 3ème type (RR3) comme l’on dit maintenant, j’ai gardé une très grande méfiance vis-à-vis de mes enseignements scolaires, des enseignants eux-même et des gens en général. Donc une assez grande solitude.


Un sentiment de doute également sur tout ce qui m’était dit ou enseigné intellectuellement. Le fait de garder pour moi ce que j’avais vu et l’interdiction qui m’était faite de ne le divulguer à personne sous peine de problème avec la société, a fait que toujours dans toutes les situations, je savais qu’une partie de la réalité de l’existence n’était vécu et je n’ai eu de cesse que de découvrir le caché de ce quotidien vécu par chaque quidam.


Je me posais toujours la question de savoir si d’autres que moi avaient une autre idée de la vie, de ses tenants et aboutissants. Je tentais quelques questions autour de moi sur le pourquoi de la vie humaine et quelles étaient les vraies obligations de l’être dans ce monde.


Les réponses qui m’étaient faites étaient loin de me satisfaire, et je raisonnais à 12 ans loin des sentiers des enfants de mon âge, et je me souviens que pour la retraite de ma communion privée, à la suite de mes pensées sur la religion, ses symboles, ses paraboles,  mon camarade de retraite m’a dit perdre la foi !


J’étais à la recherche du monde non décrit, plus intérieur et puissant, peut-être comme celui qui avait amené ces êtres dans ce vaisseau spatial ?


Toujours est-il que toutes sortes d’événements me sont arrivés pour me conduire à rencontrer des gens qui m’ont parlé de cette énergie qui nous animait et qui pouvait nous transcender de notre vivant si on travaillait bien ou alors, qu’il fallait attendre le moment de la mort pour le vivre et le comprendre après, dans le « champ des morts ».
Le souvenir de cette rencontre du 3ème type était enfouie dans ma mémoire, mais ma vie a été une quête permanente de la réalité pleine, donc pour moi, le moteur de la vie, l’expérience du vide, de l’au delà ? je dirai plutôt d’une autre forme de vie ; les éléments, extérieurs et intérieurs, leurs mouvements...

Jeanine La Jeunesse.

 

 

 

Compte rendu de la soirée du samedi 23 novembre 2013.  

Conférence de Monsieur Jean-Gabriel Greslé.

 

http://img.over-blog-kiwi.com/0/04/81/77/201207/phpACzj95

TITRE DE LA CONFERENCE :

 1942-1954 : LA GENESE D'UN SECRET D'ETAT   

 

 

Jean-Gabriel Greslé commence sa carrière en 1952 comme élève-pilote de chasse au Cadet Club de l’USAF en Caroline du Nord. Ensuite, il travaille dans la  prospection aérienne, ainsi que pour le compte du Commissariat à l’Energie Atomique. Par la  suite, il deviendra pilote de ligne à Air France et il totalisera environ 17500 heures de vol au  moment de partir à la retraite (source : site RRO). Une vie professionnelle bien remplie donc, qui sera aussi ponctuée par des rencontres (le 5 novembre 1990 notamment) avec des phénomènes aériens non identifiés (ovnis) qui seront en quelque sorte les déclencheurs d’une autre « carrière », officieuse celle-là, qui le propulsera à la pointe et dans les sommets de la recherche ufologique française et même internationale. Il est considéré aujourd’hui comme un des meilleurs experts  sur ce sujet et il est souvent sollicité pour exposer la problématique ovni devant des aréopages prestigieux. Monsieur Greslé se défend d’ailleurs d’être un ufologue et considère que ses travaux, relevant plutôt de la catégorie des recherches historiques, font de lui un historien. 

Son dernier livre, « 1942-1954, la genèse d’un secret d’Etat », vient couronner en quelque sorte le travail considérable qui avait déjà été accompli et qui avait abouti à la publication de deux ouvrages majeurs pour la compréhension de cette période charnière dans l’histoire de l’humanité : « Extraterrestres : secret d’Etat », et « Documents interdits, la fin d’un secret ».

Avec ce dernier opus, le commandant Greslé est allé aussi loin qu’il est possible d’aller en se basant exclusivement sur l’étude minutieuse de documents officiels. Il a montré que la question des ovnis pouvait être un sujet d'étude sérieux pour les historiens, comme la guerre de 100 ans ou la chute de Rome par exemple. Rien n'empêchait de l'examiner sous cet angle et d'en tirer des résultats significatifs. L’ensemble des trois livres forme un tout d’une cohérence irréprochable, et c’est ce qui importe le plus en définitive. La cohérence de l’ensemble rend acceptable le fait qu’il puisse y avoir des éléments dont l’origine est incertaine. La rigueur méthodologique n’est jamais prise en défaut et l’analyse des documents montre une grande connaissance de la façon dont fonctionnent les services de renseignements et la hiérarchie militaire.

Le pari initial était risqué : introduire dans la démonstration des documents dont l’authenticité n’était pas établie à 100%. C’est un exercice à haut risque qui demande de maintenir constamment en alerte son sens critique et de toujours envisager les choses sous plusieurs angles à la  fois. Le pari a été tenu, et l’auteur a su rester en équilibre sur la « corde raide » jusqu’au bout si je puis dire. 

Le piège à éviter était de considérer ces documents soit comme totalement faux ou, au contraire, comme totalement vrais. S’ils sont totalement faux, ils ne sont d’aucune utilité pour la démonstration, mais d’un autre côté, un doute ne cesse de planer sur l’origine réelle de ces documents. Alors comment faire ? La seule solution est d’évaluer le degré de fiabilité de chaque document pris séparément. Au terme de ce fastidieux travail, la conclusion qui s’impose est qu’une partie seulement des documents est douteuse et que le reste peut être considérée comme fiable. A partir de là, la démonstration se déroulait d’elle-même et les conclusions se déduisaient sans difficulté.

Les conclusions qui s’imposent sont énormes et dérangeantes, mais Jean-Gabriel Greslé fait preuve d’une grande lucidité vis-à-vis de la question d’une présence extraterrestre dans notre environnement. Il va au fond des choses et il ne craint pas d’évoquer certains aspects du problème ovni qui pourraient perturber nos institutions. Comme, par exemple, la présence parmi nous d’être humanoïdes extraterrestres qui pourraient s’infiltrer dans tous les rouages de notre société sans que nous le sachions.     

Désormais, les questions que nous devons aborder sont celles qui se rapportent à l’évaluation de l’écart technologique entre eux et nous. Si nous considérons le fait que plusieurs ethnies sont déjà présentes dans le système solaire la question de l’écart technologique devient complexe. Pour certaines ethnies, l’écart n’est peut-être pas aussi considérable que cela. Il pourrait être que de quelques centaines où milliers d’années. Les disques volants récupérés pourraient faire partie de cette catégorie. Pour des ethnies supérieures, l’écart pourrait se chiffrer en dizaines ou en centaines de milliers d’années. Le comportement de certains « vaisseaux » laissent penser que des ethnies de ce niveau se manifestent aussi dans notre environnement. Enfin, en ce qui concerne les ethnies dont l’écart pourrait atteindre des millions d’années, je ne pense pas que nous ayons la moindre chance de les apercevoir et d’espérer le moindre contact avec elles.

Daniel Robin.

 

 

 

 

Compte rendu de la soirée du samedi 26 octobre 2013.  

Conférence de Monsieur Xavier Passot.

( Directeur du GEIPAN )

TITRE DE LA CONFERENCE :

 LE GEIPAN FACE AU DEFI DES OVNIS

Le logo du GEIPAN

Groupes d'Etudes et d'Informations sur les Phénomènes Aérospatiaux Non-identifiés.

 

Depuis 1977, le Centre National d’Etudes Spatiales a reçu plus de 6500 témoignages de phénomènes aérospatiaux non expliqués.

Peut être vous-même un jour ou une nuit, vous avez été témoin d’un tel phénomène !

Le GEIPAN Groupe d’Etudes et d’Informations des Phénomènes Aérospatiaux Non identifiés est une structure unique en son genre, rattachée à la Direction du Centre National d’Etudes Spatiales de Toulouse.

Ses principales missions sont de collecter, d’analyser, d’archiver et de mettre à la disposition du public les témoignages d’observations de phénomènes aérospatiaux non identifiés sur le territoire français.

Le GEIPAN, de part son expérience, tente d’expliquer ces observations suite à des enquêtes d’autant plus approfondies que le phénomène est étrange.

Lors de sa conférence, Monsieur Xavier Passot, responsable du GEIPAN, expliquera les phénomènes rares que nous pouvons voir dans notre ciel, et les méthodes d’investigation mises en place. Il présentera quelques cas d’observation inexpliqués et nous expliquera ce que nous pouvons faire pour rapporter le plus précisément possible les observations de phénomènes aériens non identifiés.  

Ci-dessous : la Terre vue de l'espace, une image qui synthétise les missions du CNES (Centre National d'Etudes Spatiales) : promouvoir la place de l'homme dans l'espace pour mieux gérer nos activités terrestres. Etablissement public à caractère industriel et commercial, le CNES est chargé de proposer au gouvernement la politique spatiale de la France au sein de l’Europe et de la mettre en oeuvre. A ce titre, il « invente » les systèmes spatiaux du futur, maîtrise l’ensemble des techniques spatiales, et garantit à la France l’accès autonome à l’espace. Acteur majeur de l’Europe spatiale, le CNES est une force de propositions pour maintenir la France et l’Europe en tête de la compétition mondiale. La participation de la France à l’Agence spatiale européenne (ESA) est également assurée par le CNES. Il s’entoure de partenaires scientifiques et industriels avec lesquels sont réalisés les programmes spatiaux qu’il conçoit. Il est engagé dans de nombreuses coopérations internationales, indissociables de toute politique spatiale d’envergure.

 

 

 

 

 

Compte rendu de la soirée du vendredi 13 septembre 2013.  

Conférence de Monsieur François-Marie Périer.

  LE CONTACT EXTRATERRESTRE A TRAVERS L'HISTOIRE

 

 

Ce sont les ouvrages d’Erich Von Daniken il y a une cinquantaine d’années, qui permirent au public mondial de se familiariser le plus avec l’hypothèse des anciens « dieux-astronautes » extraterrestres. Mais en fait toute étude des légendes, textes, rituels, documents iconographiques des peuples traditionnels et des anciennes civilisations fait apparaître de façon éclatante cette interaction ininterrompue entre la Terre et le Ciel, entre les « dieux » et les humains (voire le monde souterrain).

L’intérêt de toucher à ces sources, non conditionnées par nos propres références et interprétations, est grand : non seulement cela bat en brèche les théories réductionnistes de type psychologique ou sociologique, ou celles d’une origine toute humaine et contemporaine du phénomène ovni, mais nous oblige aussi à reconsidérer notre histoire (ou nos histoires) mouvementées. 

Relire et relier ces mythes et ces témoignages tout autour de la Terre, faire tomber les cloisons imposées par nos récents modèles universitaires, entre les disciplines du savoir (science, religion, mythologie, histoire, philosophie, art…) sans « concordisme » mais sans œillères non plus, c’est s’autoriser à tracer, ou retrouver, une nouvelle carte de l’Homme et de l’Histoire, mieux comprendre notre présent et peut-être bien notre avenir dans la période troublée et incertaine que nous traversons.

Après un parcours à travers mythes et traces iconographiques anciens, et jusqu’aux témoignages de « contactés » plus récents, l’exposé dégagera quelques lignes fortes de l’éternelle relation entre hommes et « dieux » : montagnes sacrées, déluges, hypothèse du mirage du monde, et certaines questions liées à l’origine et au sens de l’Humanité, à la récurrence de certaines planètes et étoiles et aux formes d’apparition des « Peuples des étoiles », comme les appellent souvent ceux de la Terre qui ont gardé la plus ancienne mémoire.

 

François-Marie Périer, né en 1969, a été enseignant et guide de voyages (Europe, Inde, Proche-Orient, Amérique Centrale). 

Il se consacre aussi depuis quelques années à l’écriture et la photographie, à travers des articles, traductions, essais, expositions et conférences qui touchent aux spiritualités et religions, à l’art, à l’ufologie et à la mondialisation.

Site personnel : www.sameshores.fr

Il est l’auteur de :

Poésie et Eveil, les voyages du Cygne, (ed. Brumerge) un essai sur la poésie et le sacré à travers les âges.

Angkor, la pierre et la prière, (ed. Alzieu) avec le photographe Matthieu Verdeil.

Traducteur du contacté italien Maurizio Cavallo dont a été publié : « Le Rivage des Dieux », aux Editions Louise Courteau.

 

 

 

 

Compte rendu de la soirée du samedi 7 septembre 2013.  

Conférence de Monsieur Joël Mesnard.

  46 ANS DE RENCONTRES AVEC LES TEMOINS D'OVNIS   

Ci-dessus : notre invité à gauche, Monsieur Joël Mesnard, en compagnie de Monsieur Daniel Robin, Organisateur des Rencontres des Sciences et de l'Inexpliqué.

Depuis 25 ans, Joël Mesnard assure la publication de « Lumières Dans La Nuit » (« LDLN » pour les connaisseurs), qui est sans aucun doute la meilleure revue d’ufologie en France. Joël axe son travail d’ufologue sur le recueil et l’examen des témoignages, ce qui lui semble être la première des priorités avant toute tentative d’interprétation. En pratiquant une stricte ufologie de terrain, il a ainsi accès à des témoignages de « première main » qui sont riches d’enseignements. L’examen attentif des témoignages permet en effet de constater divers « comportements » étranges du phénomène ovni et d’écarter les idées qu’on pourrait s’en faire a priori. Cette étude sur le terrain est fondamentale et reste la base d’un travail ufologique sérieux, loin des spéculations et des rêveries. Ce que nous disent les récits des témoins dessinent, peu à peu, la réalité d’une profonde énigme, dont Joël poursuit sans relâche l’exploration.

 

Daniel Robin.

Organisateur des Rencontres des Sciences et de l’Inexpliqué.

 

 

 

 

Compte rendu de la soirée du lundi 13 mai 2013.  

Conférence de Monsieur Ludovic Chapier.

ABDUCTIONS ET RENCONTRES RAPPROCHEES :   

Que savons-nous après 50 ans d'études ?

 

Economiste de formation, Ludovic est issu d’une école de commerce et a effectué un MBA en finance internationale à New York et est actuellement auto-entrepreneur. Intéressé par la question des ovnis depuis l’enfance, il s’est spécialisé dans la question des enlèvements tout en étant relativement sceptique au départ sur la réalité objective de ces phénomènes qui constituent un défi à la science. Chercheur indépendant, l’auteur n’appartient à aucune association ufologique.

Le phénomène des enlèvements extraterrestres est étudié depuis 50 ans et constitue un défi à la science moderne. De nombreux livres ont été publiés aux États-Unis mais très peu ont été traduits en français, raison pour laquelle beaucoup de gens pensent que les preuves n’existent pas. Il serait plus exact de dire que des preuves (ou des éléments de preuves selon le sens qu’on donne à ce terme, la question de la preuve en ufologie étant par définition complexe et délicate, plus logique que factuelle) existent mais ne sont pas suffisamment connues. Ann Strieber affirme avoir lu personnellement environ 250 000 lettres ou emails depuis la parution du livre de son mari (Whitley Strieber) « Communion » - publié en 1987. Ces témoignages viennent du monde entier…

Des analyses ADN ont été effectuées dans les années 2000 suite à un cas incroyable survenu en Australie en 1992. Les résultats ont laissé les scientifiques perplexes. De nombreux autres cas sont méconnus, comme l’histoire de cette jeune fille - toujours en Australie - enlevée par un ovni devant une de ses amies et retrouvée trois heures plus tard à 800 km de l’endroit où elle se trouvait initialement. Nous pourrions aussi évoquer l’affaire du Brooklyn Bridge étudiée par Budd Hopkins, dont le livre « Witnessed » n’a, hélas, jamais été traduit, considéré comme le cas du siècle mais très largement méconnu - en dehors des personnes s’intéressant au phénomène ovni.

De nombreux témoignages ne cadrent pas avec le paradigme scientifique actuel, par exemple de nombreuses personnes affirment avoir traversé des murs ou des fenêtres fermées. Une nouvelle physique semble émerger lentement, les livres de David Wilcock sur le champ de conscience unitaire en donnent un aperçu passionnant.

Les recherches sur les implants de Roger Leir constituent un élément de preuve très intéressant. La structure atomique de ces implants ressemble à celle des météorites, les données complètes sont disponibles dans son dernier livre « Contact Ovni, la dernière frontière ». Les travaux de John E. Mack ont également fait beaucoup progresser la recherche, les abductions ouvriraient des portes (dans le sens d’une élévation de la conscience humaine) et seraient liées d’une façon ou d’une autre à certaines expériences psychiques ou spirituelles comme les transes des chamanes, les E.M.I ou Expérience de Mort Imminente, etc. De nombreuses personnes affirment également avoir été guéries par des extraterrestres (notamment Stan Romanek dont l’histoire est passionnante).

Il existe aussi des éléments beaucoup plus inquiétants relatifs à l’existence d’êtres considérés comme « hybrides » (mi-homme, mi-extraterrestre), le nombre de témoignages ne laisse aucun doute à ce sujet. David Jacobs (professeur d’université aujourd’hui en retraite) étudie la question depuis plus de 30 ans, ses travaux débouchent sur des conclusions peu optimistes.

Quoi qu’il en soit, ce sujet pose de nombreuses questions relatives à l’avenir de l’Humanité. Le consensus intellectuel minimum est qu’il s'agit d’un phénomène réel, très complexe, digne d’être étudié selon des protocoles très rigoureux.

Ludovic Chapier

 

ENLEVEMENTS EXTRATERRETRES 

ETRENCONTRES RAPPROCHEES

Le point sur 50 ans d'études à travers des cas récents.

Éditions INTERKELTIA

Pour commander le livre :

http://www.interkeltia.com/livreenlevements.html


Le livre de Ludovic Chapier présente des cas réels et récents (2010, 2011) de rencontres rapprochées aux Etats-Unis. Le phénomène des abductions est étudié depuis 50 ans et de nombreux éléments relatifs à la réalité du phénomène sont désormais absolument certains. Un chapitre entier est consacré aux conclusions actuelles des chercheurs les plus en pointe, de Budd Hopkins (décédé durant l’été 2011), à David Jacobs notamment. 

Ce livre répond aussi à de nombreuses questions connexes liées aux abductions, qu’il s’agisse de traces physiques sur les victimes ou de la question des bases extraterrestres sur Terre. 

L’affaire du Brooklyn Bridge de 1989 est longuement évoquée ainsi que d’autres cas moins connus du grand public car issus de livres n’ayant pas été traduits en français. Le lecteur trouvera de nombreux liens vers les sites web des chercheurs cités, ainsi que vers des vidéos en ligne. 

Ce livre constitue un ouvrage de synthèse de référence qui donne une vue d’ensemble du phénomène des enlèvements, tout en s’appuyant sur des faits. 

La démarche de l’auteur se veut rationnelle et objective. Les faits contenus dans ce livre sont tous vérifiables. Le phénomène des enlèvements est donc une énigme qu'il convient de prendre très au sérieux.

 

 

 

 

Compte rendu de la soirée du samedi 6 avril 2013.  

Conférence de Monsieur Thierry Gay.

Compte-rendu intégral au format PDF

 

 

  LES OVNIS DE L’HUDSON RIVER 

L’une des plus extraordinaires observations d’ovnis au XXème siècle aux Etats-Unis.

 

Avis aux lecteurs : ce dossier concernant les observations d’ovnis de l’Hudson River est d’une extrême importance. Cette affaire est capitale pour la compréhension du phénomène ovni. C’est peut-être le cas le plus spectaculaire survenu aux Etats-Unis au XXème siècle. C’est pour cette raison que mon souhait le plus vif est que chaque lecteur de ce dossier fasse son possible pour le diffuser autant qu’il le peut autour de lui. Cet appel a pour but de faire connaître cette extraordinaire vague d’ovnis afin que les humains prennent conscience qu’ils ne sont pas seuls dans l’Univers. Des êtres très évolués visitent notre planète. C’est une certitude.

Information : Les « Rencontres des Sciences et de l’Inexpliqué », qui organisent des cycles de conférences à Lyon, ont invité M. Thierry Gay le 6 avril 2013. Notre invité a présenté en public l’affaire des ovnis de l’Hudson River. L’intégralité de la conférence de M. Gay est disponible sur Internet à l’adresse suivante : 

http://www.dailymotion.com/ovniinvestigation#video=xwug46 .

Nous remercions tout particulièrement Thierry qui a fait une présentation remarquable tant par la qualité de son exposé (très vivant), que par la minutie avec laquelle il a traité les différents cas d’observations. J’estime que le travail qu’il a effectué sur ce dossier reste inégalé.

 

Compte-rendu intégral au format PDF

 

Le dossier ovni qui aurait pu changer les mentalités.

Parmi les observations d’ovnis les plus spectaculaires, figurent en bonne place celle de la Vallée de l’Hudson dans les années 80. Nous présentons ici un dossier ufologique tout à fait exceptionnel qui offre l’opportunité de prouver de façon éclatante que notre planète a bien été visitée par des vaisseaux qui n’étaient sûrement pas d’origine terrestre. Les preuves apportées dans ce dossier reposent sur plus de 7000 témoignages oculaires directs, et sur une enquête rigoureuse menée par des personnalités qualifiées dont la probité et l’expertise sont au-dessus de tout soupçon. Je suis stupéfait par l’attitude des médias et du public en général vis-à-vis de cette affaire d’une portée gigantesque. Nous envoyons des sondes automatiques vers Mars pour savoir si la vie a pu exister ailleurs que sur notre planète, et nous ne prêtons pas la moindre attention à des faits qui prouvent de façon éclatante que cette vie existe bien et qu’elle vient même nous visiter régulièrement. Comment expliquer un tel comportement ? Pourquoi refusons-nous de voir la réalité en face ? Pourquoi rejetons-nous des faits qui nous confrontent à une autre forme de vie intelligente dans l’Univers ? Avons-nous peur à ce point ? Ne sommes-nous pas suffisamment prêts mentalement pour accepter qu’une rencontre entre une intelligence étrangère et nous puisse se dérouler actuellement sous nos yeux ? S’agit-il d’une forme particulièrement grave de déni collectif ? Ce sont autant de questions auxquelles j’ai beaucoup de mal à apporter des réponses.

Cette prodigieuse vague d’observations d’ovnis n’a pas suscité, en effet, l’intérêt qu’elle méritait. Cette affaire n’a pratiquement pas été médiatisée en Europe, et en France, on peut dire qu’aucun média n’a rapporté les événements qui auraient pourtant mérité une étude poussée. 

Même aux Etats-Unis, les observations d’engins gigantesques (cela ressemblait à une « ville en plein ciel », confiera Ed Burns aux enquêteurs) ayant la forme de triangles, de « V », ou de « boomerangs », n’ont pas éveillé la curiosité des scientifiques qui avaient pourtant-là, presque sous leurs yeux, l’occasion de faire une étude sérieuse du phénomène ovni. Curieusement, les médias du monde entier n’ont pas relayé ces faits d’une importance capitale pour la compréhension du phénomène ovni.

Ce constat est d’autant plus étrange, que les sources d’informations modernes font preuve d’habitude d’une impressionnante efficacité lorsqu’il s’agit de diffuser à grande échelle des informations anodines ou des événements tout à fait anecdotiques. Alors, nous sommes en droit de nous poser la question : cet incroyable silence médiatique n’est-il pas le signe d’une dissimulation volontaire orchestrée par les autorités ? Tout porte à croire que c’est bien le cas si nous songeons qu’à lui seul, ce dossier apporte suffisamment d’éléments probants pour écarter de façon définitive tout doute et toute controverse sur la réalité d’une présence étrangère sur notre planète. Force est de reconnaître que ce dossier est inattaquable.

Dans ces conditions, il n’est pas exagéré de dire qu’une médiatisation plus large et bien menée de cette affaire, aurait sans doute contribué à changer (peut-être pas de façon définitive, mais du moins dans une grande proportion) les mentalités vis-à-vis du phénomène ovni. Malheureusement, l’occasion n’a pas été saisie. Si plusieurs versions peuvent être données pour expliquer cet état de fait, celle de l’« étouffement » intentionnel me paraît la plus probable. Si elle est vraie, cette explication signifierait qu’il existe, au niveau mondial, une sorte de « conspiration du silence » qui ne désire aucunement que les mentalités changent. Cette dernière conclusion est dérangeante et soulève de grandes inquiétudes. Il ne faudrait pourtant pas croire que nous partageons sans restriction les thèses parfois délirantes des « conspirationnistes ». Loin s’en faut. Ces thèses font d’ailleurs partie, dans certains cas, du dispositif global de désinformation. 

Mais avec le dossier des ovnis de la Vallée de l’Hudson, nous sommes bien obligés de constater qu’aucun effort n’a été fait de la part des autorités pour informer de façon claire et précise les citoyens de l’une des plus puissantes démocraties du monde (du moins, c’est ce qu’elle prétend être). Nous pensons que cette attitude est dommageable parce qu’elle encourage l’obscurantisme, l’angoisse et la suspicion. Elle montre, en outre, que nos dirigeants ne sont vraiment pas enclins à divulguer quoique ce soit de sérieux au sujet des ovnis. 

Voici ce nous pouvons lire dans l’une des préfaces du livre intitulé les « Ovnis sur l’Hudson River, l’une des plus importantes observations d’ovnis de tous les temps » (voir ci-dessous) : « Des centaines de personnes habitant à la périphérie de l’une des plus importantes et des plus cosmopolites des villes du monde ont été surprises, effrayées et impressionnées par ce qu’elles ne pouvaient regarder que comme un événement très bizarre. Pourtant, la Federal Aviation Administration (FAA), qui surveille les couloirs aériens que l’objet en forme de « boomerang » a empruntés de façon répétée, a persisté à nier son existence. Nous n’avons rien entendu de la part des scientifiques de la nation, pour qui ces événements auraient dû revêtir une importance capitale. Nous trouvons que tout ceci est révoltant. Habituellement, les scientifiques sont des hommes et des femmes honnêtes, logiques, qui travaillent avec des faits et des calculs. Leur travail quotidien consiste à effectuer des observations et à réaliser des expériences, recueillant ainsi des renseignements à propos de notre planète et de notre univers. Ils sont, ou devraient être, imaginatifs et curieux. Mais aucun scientifique n’a fait preuve de curiosité au sujet des événements mystérieux de la vallée de l’Hudson ».

A nous, ufologues indépendants, d’en tirer les conclusions qui s’imposent…

 

Daniel Robin.

Ovnis sur l’Hudson River

L’une des plus importantes observations d’ovnis de tous les temps.

Un extrait du livre

Les auteurs :

J. Allen Hynek, Philip J. Imbrogno, Bob Pratt.

Editeur : Editions Trajectoire (Mai 2011).

Dans « Ovnis sur l’Hudson River », des ufologues réputés et très expérimentés divulguent la vérité sur cette mystérieuse affaire. « Ovnis sur l’Hudson River » est devenu un classique de l’ufologie pour ses récits détaillés des mystérieuses observations de la vallée de l’Hudson survenues dans les années 1980. Cette nouvelle édition a été augmentée pour couvrir également les dernières observations et rencontres rapprochées : sept mille cas signalés entre 1982 et 1995. Des vaisseaux spatiaux extraterrestres ont-ils évolués dans les cieux de l’Etat de New York durant toute cette période ? Sept mille témoins oculaires peuvent-ils se tromper et être tous victimes d’hallucination ? Le Dr J Allen Hynek était un astronome professionnel et l’auteur de « The UFO Experience ». Durant 20 ans, il a été consultant scientifique pour l’armée de l’air américaine dans le cadre de recherches sur le phénomène ovni. Philip J. Imbrogno, professeur de sciences, est l’auteur de « Contact of the Fifth Kind », et de « Crosswalks Across the Universe ». Le journaliste Bob Pratt a été rédacteur en chef du Mufon Ufo Journal, et l’auteur du livre, « Ovnis Danger, appel à la vigilance ».

 

 

 

 

Compte rendu de la soirée du vendredi 29 mars 2013.  

 Compte rendu au format PDF

Conférence de Monsieur Jacques Grimault.

« L'INFORMATEUR »

Ci-dessus : coupe transparente de la Grande Pyramide de Gizeh, dite aussi Pyramide de Khéops, puisqu’elle est sensée avoir abrité le tombeau du pharaon Khéops. La Grande Pyramide a une base carrée dont la valeur de chacun des côtés est la suivante : côté sud = 230,454 m, côté nord = 230,253 m, côté ouest = 230,357 m, côté est = 230,394 m (~ 440 coudées). L’erreur maximum obtenue pour les dimensions de ce carré presque parfait est seulement de 20 cm. L’erreur moyenne sur les angles droits de la base est de 0°3´6´´. L’erreur moyenne sur l’orientation suivant les quatre points cardinaux est de 0°3´6´´. La base de la pyramide a été nivelée avec une erreur de quelques centimètres seulement. La hauteur initiale de l’édifice était de = 146,58 m, ou ~ 280 coudées (aujourd’hui = 137 m). La hauteur de la face mesurée sur le plan incliné = 186 m. L’angle d’inclinaison de ses faces est de 51°50. Le périmètre = 922 m. La surface = 53 056 m². Le volume total du monument est évalué à 2 592 341 m³ à l’origine (aujourd’hui = 2 352 000 m³). La masse est évaluée à environ 5 000 000 tonnes. Le nombre de blocs de pierre (calcaire) = 2,3 millions (d’un poids moyen chacun de 2,5 tonnes). Les dimensions de la chambre du Roi, ou chambre haute = 10,47 m de longueur, sur 5,23 m de largeur (soit vingt coudées sur dix coudées). Sa hauteur est de 5,84 m, est la hauteur totale des cinq chambres de décharge situées au-dessus de la chambre haute = 17 m. Coordonnées terrestres = 29° 58′ 44″ Nord, et 31° 08′ 02″ Est. Si nous considérons les dimensions exceptionnelles de l’édifice, le degré de précision obtenu pour toutes les mesures indiquées ci-dessus est stupéfiant. Ces faits, simples à vérifier, constituent sans doute le mystère le plus apparent de la Grande Pyramide. L’orientation vers le nord est l’une des propriétés les plus remarquables d’un point de vue technique. Ce point fait l’unanimité. Tous les savants s’accordent sur le fait que cette orientation ultra-précise était bien l’intention des constructeurs de la Grande Pyramide et non pas le fruit d’un pur hasard. Elle devait même être une nécessité pour que la pyramide « fonctionne ». Ainsi, les 4 faces de la pyramide sont orientées aux 4 points cardinaux avec une erreur de seulement 0,052° degré. Le décalage est donc de 5 centièmes de degré par rapport au nord géographique ou l’équivalent de 5cm. Par comparaison, le décalage d’orientation de l’ancien observatoire de Paris, édifié en 1667, est de 25 cm. On était donc cinq fois moins précis au XVIIème siècle qu’il y a 4500 ans, date de construction de la Grande Pyramide selon l’égyptologie officielle. Ce fait est à lui seul la preuve indiscutable que les constructeurs bénéficiaient d’un très haut niveau dans les domaines de la construction, de la conceptualisation, et un aussi un excellent niveau en astronomie (détermination des pôles nord et sud géographiques). Il n’est pas certain que les égyptologues se rendent vraiment compte de la portée d’un tel résultat, qui est époustouflant dans sa précision.

 

.1) Trois valeurs fondamentales.

Le vendredi 29 mars 2013, nous avons eu le plaisir d’accueillir Monsieur Jacques Grimault (dans le cadre des « Rencontres des Sciences et de l’Inexpliqué » qui se tiennent à Lyon) qui a fait devant le public lyonnais une excellente présentation des caractéristiques géométriques, mathématiques et « technologiques », si je puis dire, de la Grande Pyramide du plateau de Gizeh, dite aussi Pyramide de Khéops. La conférence de Jacques représente en quelque sorte le complément théorique indispensable du film de Patrice Pooyard intitulé « La Révélation des Pyramides » (LRDP). Ceux qui avaient vu le film et qui ont assisté à la conférence auront sans doute puisé dans l’exposé de Jacques l’indispensable base intellectuelle qui permet de comprendre en profondeur la signification de ces extraordinaires constructions. Le mérite du film (indépendamment de la « lecture » mathématique qu’il propose) est d’avoir attiré l’attention d’un très large public sur de nombreux faits qui ne peuvent pas recevoir d’explications satisfaisantes dans le cadre des théories de l’égyptologie officielle. Il met en avant une approche qui questionne ce qui paraissait évident puisque c’était enseigné par la science officielle en laquelle nous devrions avoir toute confiance. Le film nous incite à penser par nous-mêmes et à nous faire notre propre opinion à la lumière des faits. En ce sens, il représente une belle leçon de pédagogie car il nous demande de faire des efforts personnels, il nous demande de réfléchir, d’interroger sans a priori, l’esprit ouvert et libre. Il nous dit de ne pas prendre pour « argent comptant » ce qui est proposé par les égyptologues patentés. Rien que cet aspect du documentaire est déjà très digne d’intérêt. Mais cela ne veut pas dire que nous rejetons en bloc toute l’égyptologie officielle. Ce serait une attitude absurde. Nous demandons seulement qu’elle reconnaisse qu’elle ne sait pas tout et qu’elle n’est pas capable de tout expliquer. Nous pensons aussi qu’elle serait bien inspirée en reconnaissant que l’humilité et la tolérance devraient être les qualités premières de tous les chercheurs.

Contrairement à ce qu’enseigne l’égyptologie officielle, l’« intelligence » qui a conçu la Grande Pyramide de Gizeh connaissait parfaitement les trois valeurs fondamentales suivantes :

.a) Le nombre pi, que l’on représente par la lettre grecque du même nom, « π », et dont la valeur approchée est 3,141 592 654. Rappelons brièvement que « pi » peut se définir comme le rapport de la superficie d’un cercle au carré de son rayon et qu’il s’agit d’un nombre irrationnel et transcendant.

.b) Le nombre d’or, section dorée ou « divine proportion », dont la valeur est 1,618 033 988 7, qui est désigné aujourd’hui par la lettre φ (phi). Comme « pi », « phi » est un nombre irrationnel. Le nombre d’or n’est ni une mesure, ni une dimension, mais un rapport entre deux grandeurs homogènes. La géométrie permet de retrouver le nombre d’or qui est présent dans toute forme pentagonale régulière, dans l’étoile à 5 branches, dans les spirales logarithmiques, dans les constructions majeures de l’antiquité (Parthénon), dans les peintures de la Renaissance (Léonard de Vinci), et dans de nombreuses structures naturelles (nautiles, galaxies).

.c) Le mètre. Ce troisième point est très mystérieux, car le mètre, tel qu’il est utilisé aujourd’hui, n’a été officiellement défini que le 26 mars 1791 par l’Académie des Sciences. A cette date, il est présenté comme étant la dix-millionième partie de la moitié du méridien terrestre (ou un quart du grand cercle passant par les pôles), ou encore comme le dix-millionième de la distance pour aller par le plus court chemin d’un pôle à un point donné de l’équateur. C’est la mesure de Jean-Baptiste Joseph Delambre, astronome et mathématicien, qui fut adoptée par la France le 7 avril 1795 comme longueur officielle du mètre. Alors, comment les égyptiens pouvaient-ils déjà connaître le mètre il y a 4500 ans ? Une des preuves qui permet de dire que c’était bien le cas, provient du « pyramidion rouge » retrouvé par Rainer Stadelmann sur le site de Dhachour, dont la hauteur mesurait très exactement un mètre et qui à l’origine devait coiffer la Grande Pyramide..

 

2) Les pyramides ne sont pas des tombeaux.

Les travaux de Jacques qui trouvent leurs prolongements visuels dans le documentaire intitulé « La Révélation des Pyramides » de Patrice Pooyard, ont le mérite de poser des questions d’ordre pratique qui mettent en question les théories officielles de l’égyptologie. En effet, selon l’égyptologie officielle, la Grande Pyramide serait le tombeau du pharaon Khéops qui fut édifié il y a plus de 4 500 ans. Cette thèse suppose qu’entre le moment où Khéops décide de bâtir son tombeau et sa mort, il s’est écoulé une vingtaine d’années, temps qui aurait été suffisant pour édifier la Grande Pyramide. Hors, est-il possible que la Grande Pyramide de Gizeh ait été construite en seulement 20 ans sous le règne du Pharaon Khéops ? Notons aussi qu’aucun sarcophage contenant la dépouille d’un Pharaon n’a été retrouvé dans aucune des pyramides d’Egypte (même dans les pyramides qui étaient encore fermées, et donc intactes, au moment de leur exploration). A partir de ce constat irréfutable, pouvons-nous encore affirmer que la fonction des pyramides, et plus spécialement celle de la Grande Pyramide, était d’abriter un tombeau ? La Grande Pyramide est-elle donc une tombe ? Jacques montre qu’il s’agissait plutôt d’un cénotaphe (du grec : kenos, « vide », et taphos, « tombe »), c’est-à-dire d’un monument élevé à la mémoire d’une personne, ou d’un groupe de personnes, mais qui ne contient pas de corps. De nombreux cénotaphes ont été érigés dans le monde depuis l’Antiquité. Le Taj Mahal en Inde, dont la construction s’est étendue de 1631 à 1644, et qui a été édifié par l’empereur moghol Shâh Jahân en mémoire de son épouse, est un bel exemple de cénotaphe. Les vrais tombeaux du Taj Mahal se trouvent dans une crypte souterraine, juste au-dessous des cénotaphes.

 

 

 Ci-dessus : le fameux « Homme de Vitruve », réalisé par Léonard de Vinci aux alentours de 1492, est l’aboutissement d’une recherche sur les proportions idéales du corps humain. L’origine de ce dessin est un passage du De Architectura de Vitruve. L’architecte Vitruve écrit dans son livre sur l’architecture que les mesures de l’homme sont ordonnées par la nature comme suit : 4 doigts font une paume, 4 paumes font un pied, 6 paumes font une coudée, 4 coudées font un double pas, et 24 paumes font une longueur d’homme. Nous observons que l’Homme de Vitruve s’inscrit dans un cercle et dans un carré. Le centre du cercle est le centre de gravité du corps (nombril, centre de gravité : « G »). Que le coefficient de proportionnalité entre le rayon du cercle et la hauteur du carré est égal à φ (phi), c’est-à-dire le nombre d’or. Leonard de Vinci fait référence aux mesures de longueur utilisées par les architectes de la Renaissance (paume, palme, empan, pied et coudée). Ces mesures suivent une progression liée à la suite de Fibonacci. Dans cette suite, un nombre est égal à la somme des deux précédents (0,1,1,2,3,5,8,13,21,34…). Le rapport d’un élément de cette suite avec le précédent se rapproche du nombre d’or (phi = 1,618..) au fur et à mesure que la suite grandit (34/21 est plus près de phi que 8/5). Symbole alchimique par excellence, l’Homme de Vitruve tente de réaliser l’union du Ciel (cercle) et de la Terre (carré), du matériel et du spirituel, et d’établir un équilibre entre ces deux ordres de réalité. La question qui se pose est celle-ci : comment passer du carré au cercle ? En d’autres termes, comment résoudre la quadrature du cercle ? La structure (matérielle et mathématique) de la Grande Pyramide montre qu’il est possible de résoudre ce problème. La Grande Pyramide serait une « méta-machine » capable d’opérer le passage du plan matériel terrestre vers le plan spirituel lumineux. Elle serait un « instrument » d’élévation de la vie, plutôt que le réceptacle d’un corps en fin de vie (tombeau).

 

Ci-dessus à gauche : pyramidion, dit « pyramidion rouge », retrouvé près de la pyramide rouge de Dahchour (Dahshur), et découvert par l’égyptologue allemand Rainer Stadelmann. La découverte aurait été faite par Stadelmann durant la campagne de fouilles entre 1982 et 1985 (ou 1993) à Dahchour. Le pyramidion reconstitué sur la photo mesure 1,57 m à la base, et 1,00 m pour la hauteur. Officiellement, ce pyramidion n’a rien à voir avec la Grande Pyramide car les sites de Dahchour et Gizeh sont distants d’un peu plus de 25 km.

Ci-dessus à droite : le même « pyramidion rouge » en 2008. Il a été « restauré » de façon fantaisiste, et il n’a plus du tout les mêmes dimensions. Cette restauration a probablement été faite entre novembre 2005 et novembre 2006. Pour quelles raisons le pyramidion a-t-il été restauré ? Les restaurateurs cherchaient-ils à dissimuler quelque chose ? Ce sont des questions que le spectateur se pose légitimement après avoir visionné le documentaire. Le passage sur le pyramidion constitue un des moments forts du film car il est sensé démontrer que les bâtisseurs de la Grande Pyramide connaissaient la valeur exacte du mètre. Selon Jacques, il faut aussi tenir compte du fait que le pyramidion joue un rôle clé dans la compréhension de la Grande Pyramide et du site de Gizeh.

 

.3) « Moyens simples » et haute technologie.

La question que posent les travaux de Jacques Grimault ainsi que le film de Patrice Pooyard, est celle de savoir comment les égyptiens ont pu construire un monument comme la Grande Pyramide avec des moyens très rudimentaires (des « moyens simples » comme il est dit dans le film) ? Il est évident qu’il existe une contradiction flagrante entre l’incroyable perfection technique de la Grande Pyramide et les outils rudimentaires qui auraient été employés pour la bâtir. Une seconde question se pose d’ailleurs qui est complémentaire de la précédente : est-ce bien les égyptiens qui ont bâti la Grande Pyramide ? Jacques pense que la Grande Pyramide serait antérieure au règne de Khéops et aurait été conçue par une mystérieuse « intelligence » dont il ne dit rien pour le moment. Dans ces conditions, quels sont les outils qui auraient été utilisés pour arriver à ce degré de perfection ? Selon la théorie officielle, « les outils que les Egyptiens avaient à leur disposition sous l’Ancien Empire étaient hérités, pour l’essentiel, du Néolithique. Les anciens ont acquis, à l’aide de l’outillage lithique, une grande expérience dans la taille des pierres dures, comme en témoignent les magnifiques vases sculptés durant la période Thinite. Cet outillage se composait de masses et de marteaux en diorite ou en dolérite, de lames et de couteaux en silex, de percuteurs et de forets. Des demi-sphères de calcaire permettaient le concassage de débris en poudre destinée à la fabrication du mortier. Le métal utilisé sous l’Ancien Empire était essentiellement le cuivre, utilisé sous la forme du ciseau ou de la scie alliée au sable (composé de grains de quartz). Ce dernier instrument permettait d’attaquer les pierres les plus dures. L’opinion commune juge inadéquat cet outil, avançant comme argument que le cuivre pur est un métal bien trop mou pour tailler la pierre. Certains considèrent aujourd’hui que les Egyptiens ne l’utilisaient pas pur : les minerais de l’époque contenaient des pourcentages d’arsenic et de bismuth constituant un alliage plus dur que le cuivre pur. Le bois était également présent sur les chantiers, employé pour la fabrication de brancards, de leviers et de rondins ainsi que pour l’extraction des pierres. Cet outillage nous semble aujourd’hui bien rudimentaire, mais, allié à une patience hors du commun qu’on est bien obligé d’imaginer, il permettait aux anciens Egyptiens de venir à bout des tâches les plus ardues » (source Wikipédia). Nous pouvons constater que l’égyptologie officielle s’enferme dans des contradictions qu’elle est incapable de résoudre. D’une part elle reconnaît le haut degré de technicité qu’exige la construction de la Grande Pyramide, mais d’autre part elle ne peut pas se défaire de l’idée que les outils des Egyptiens étaient hérités, pour l’essentiel, du Néolithique (masses, marteaux, lames et couteaux en silex). Bien obligé d’admettre qu’il y a quelque chose qui ne va pas dans cette approche, elle se rabat finalement sur l’hypothèse « d’une patience hors du commun » qui aurait été capable de venir à bout de tous les obstacles. Est-ce que la patience est capable d’ajuster des blocs de granit pesant plusieurs dizaines de tonnes au dixième de millimètre comme c’est le cas dans la Chambre Haute, dite « Chambre du Roi » (ci-dessous) ?

 

 

Si les bâtisseurs de la Grande Pyramide n’utilisaient pas des outils de cuivre ou de pierre issus du Néolithique, se servaient-ils de machines plus ou moins semblables à celles que nous utilisons aujourd’hui pour la taille, la découpe, et la pose des pierres ? Si oui, où se trouvent ces machines aujourd’hui ? La conclusion à laquelle est parvenue Jacques est que l’« intelligence » qui a conçu et bâtie la Grande Pyramide, n’utilisait ni des outils rudimentaires, ni des machines plus ou moins semblables aux nôtres. La technologie mise en œuvre serait peut-être beaucoup plus « exotique » et mystérieuse que nous pourrions l’imaginer. Des technologies utilisant le pouvoir des fréquences sonores par exemple, ou des technologies dérivées des découvertes de Nicolas Tesla (Jacques nous dit clairement de regarder dans cette direction) pourraient, dans une certaine mesure, nous permettre de nous faire une idée des « machines » utilisées pour édifier la Grande Pyramide (qui serait une « méta-machine » selon Jacques).

 

Ci-dessus : la Chambre Haute de la Grande Pyramide, dite aussi « chambre du roi ». Cette chambre est faite de 130 dalles de granit pesant entre 12 et 70 tonnes environ. Ses parois sont parfaitement horizontales et verticales. La précision de l’agencement des blocs est au dixième de millimètre. Ce qui est particulièrement étrange, ce n’est pas tant la précision obtenue dans l’agencement des blocs, que la possibilité de la vérifier avec des instruments. Aujourd’hui, nous pouvons effectuer des mesures ultra-précises grâce à un rayon laser (télémètre laser). Or, selon la doctrine officielle, les Egyptiens ne disposaient pas de cette technologie. Comment ont-ils fait pour vérifier que les blocs étaient bien disposés au dixième de millimètre près ?

 

.4) Coexistence de deux niveaux technologiques.

Le film de Patrice Pooyard, « La révélation des Pyramides », soulève un certain nombre d’interrogations en ce qui concerne la civilisation Egyptienne. Cependant, il ne faudrait pas se laisser abuser par les apparences et interpréter le film au premier degré. Lorsque j’ai vu le documentaire pour la première fois, je me suis demandé quel était le degré réel d’avancement technologique de la civilisation égyptienne ? L’égyptologie officielle s’était-elle trompée au point de ne pas voir ce qui dans le film paraît tellement évident ? Etait-elle si aveugle qu’elle n’avait jamais rien remarqué d’anormal dans les vestiges qui étaient à sa disposition et qui pourtant ce voyait comme le « nez au milieu de la figure » si je puis dire ? Il y avait-là une « cécité » que je ne pouvais pas m’expliquer. Pour moi, il n’y avait donc que deux hypothèses possibles : a) soit les égyptologues étaient idiots et incompétents, et j’avais du mal à l’admettre, b) soit ils avaient sciemment dissimulés les faits dérangeants et ils avaient échafaudés des théories fumeuses pour tromper le public (les deux hypothèses n’étant exclusives l’une de l’autre d’ailleurs). C’était trop, je ne pouvais pas le croire. Pourtant, les faits étaient là (têtus), et il n’était pas possible de les balayer d’un revers de main. Alors comment les expliquer ? En visionnant une seconde fois l’œuvre de Patrice, et en écoutant attentivement les propos de Jacques, j’ai compris que les questions pouvaient se poser autrement. Pour Jacques par exemple, la Grande Pyramide était un monument totalement « exotique » si je puis dire, qui était parfait dès sa conception et qui n’était donc pas l’aboutissement logique d’une longue évolution (faite de tâtonnements et d’échecs cuisants) dans les techniques de construction. Aujourd’hui, après avoir visionné le film une troisième fois (selon Jacques, un internaute l’aurait visionné plus de soixante fois), je commence peut-être à comprendre qu’il pouvait coexister deux types d’édifices dans l’Egypte ancienne : d’une part, des monuments normaux fabriqués par les égyptiens de l’époque avec des outils rudimentaires, comme l’enseigne l’égyptologie officielle, et d’autre part, des monuments « exotiques », beaucoup plus anciens, et fabriqués à partir d’une technologie incompréhensible pour nous, comme le démontre Jacques. C’est du moins ce que je crois comprendre au moment où j’écris ces lignes.

 

.5) Qui est l’« intelligence » qui a édifié la Grande Pyramide ?

Alors d’où viennent ces monuments « exotiques » comme la Grande Pyramide par exemple ? Par qui ont-ils été bâtis ? Selon moi, et en tenant compte aussi des travaux de Jacques, deux grandes hypothèses peuvent être envisagées :

.a) Dans le premier cas de figure, il faut admettre l’existence d’une grande et brillante civilisation terrestre qui aurait été antérieure à la civilisation égyptienne. La civilisation Egyptienne dynastique remonterait au roi Meni (ou Ménès en grec) qui est supposée avoir procédé à l’unification des deux royaumes de Haute et Basse Egypte aux alentours de -3200 avant J.C. (période Thinite). D’après le film, cette grande civilisation aurait pu se développer sur l’ensemble de la planète, c’est-à-dire de l’Egypte à l’Ile de Pâques, et des hauteurs de la forteresse Inca de Machu Picchu située au Pérou, jusqu’aux pyramides de Xi’an en Chine. Cette grande civilisation aurait-elle eu des rapports avec l’Atlantide ? Bien que Jacques ne dise rien d’explicite à ce sujet, c’est une hypothèse séduisante d’autant plus que certains indices indirects nous orientent dans cette direction. Notons, en effet, que Jacques Grimault est fondateur d’une association qui s’appelle « La Nouvelle Atlantide » en référence à l’ouvrage de Francis Bacon publié en 1622. Nous pouvons être sûrs qu’il ne s’agit pas d’une simple coïncidence mais au contraire d’un lien volontaire. Le rapprochement se confirme si nous visitons le site Internet de l’association. En effet, dans la rubrique, « ligne philosophique », nous lisons ceci : « Comme vous l’aurez probablement compris, ce site - tout comme les activités de l’association La Nouvelle Atlantide - repose en partie sur les écrits et les vues du philosophe grec Platon, et sur ceux et celles du chancelier anglais Francis Bacon. Le premier, s’appuyant sur le savoir des anciens Egyptiens transmis par son grand-oncle Solon, faisait connaître à ses lecteurs l’existence d’un continent disparu, l’Atlantide ; le second exposait, sous le nom de Nouvelle Atlantide, un projet utopique mettant la science et le savoir au centre des préoccupations humaines, comme étant l’unique chance de survie des hommes… En décortiquant attentivement et avec soins les œuvres de ces deux auteurs majeurs de l’histoire du monde moderne - cependant actuellement quelque peu minorés, voire méprisés - puis en les développant et en les replaçant dans une perspective contemporaine, nous montrerons ce en quoi leur témoignage salvateur ne saurait être ignoré par quiconque et rester dans le silence, et tâcherons de poursuivre dans la direction donnée par eux…L’un et l’autre s’exprimaient à mots couverts, laissant entendre plutôt qu’ils n’expliquaient, ce qui méritera donc quelques éclaircissements ici et là… Ils étaient, en effet, de la discrète autant que savante et aimable confrérie des enfants de Djéhouty-Thoth-Hermès-Mercure, autrement dit, ils étaient tous deux des hermétistes ». Rappelons que le « mythe » de l’Atlantide provient des écrits de Platon (le Timée puis le Critias). Selon Critias, son arrière-grand-père, Dropidès, s’était vu confier par le législateur Solon (VIème siècle av. J.-C.) une confidence que lui-même tenait d’un prêtre égyptien du temple de Saïs au cours d’un voyage d’études qu’il fit en Egypte en -570. A cette époque, les Grecs avaient coutume d’aller étudier auprès des prêtres égyptiens. Bien que l’Atlantide soit généralement assimilée à une île, Hérodote parle des Atlantes comme étant les habitants de la région du mont Atlas et tirent leur nom de cette montagne. Les Atlantes ne serait donc pas un peuple venant de la mer, mais plutôt des montagnes. L’Atlas est en effet un massif montagneux situé au nord de l’Afrique. Son nom évoque le mythe grec du géant Atlas condamné par Zeus à supporter sur ses épaules la voûte céleste.

.b) Dans le second cas de figure, il faut supposer qu’une civilisation extraterrestre aurait pu transmettre ses connaissances soit directement à l’Egypte ancienne, soit à la civilisation brillante qui a édifié la Grande Pyramide. Bien que cette hypothèse puisse être envisagée, il est cependant très difficile de mettre en évidence une intervention d’origine extraterrestre et trouver des traces incontestables d’une interférence de ce type. Cependant, ce qui surprend avec la civilisation égyptienne, c’est la soudaineté avec laquelle elle apparaît et la grande maîtrise dont elle fait preuve dès le départ dans des domaines comme l’écriture, l’architecture, l’astronomie, l’agriculture, l’irrigation, l’art et la médecine. C’est un peu comme si elle apparaissait brusquement, « toute équipée », sur la scène de l’histoire. Ce n’est d’ailleurs pas le seul exemple de civilisation apparaissant soudainement avec des connaissances très élevées dans de nombreux domaines. De ce point de vue, l’origine de la civilisation sumérienne reste mystérieuse. « On ne sait pas d’où viennent les Sumériens. La langue sumérienne n’appartenant ni au groupe des langues sémitiques, ni à celui des langues indo-européennes ; le fameux mythe d’Abgad (les Sept Sages) impute la première civilisation du pays par ces nouveaux immigrants étranges « arrivés de la mer ». Il est possible qu’ils soient venus du sous-continent indien ou d’Asie en longeant le littoral iranien. D’autres hypothèses les feraient venir du nord (Asie Mineure ou Zagros). D’autres, comme Elton L. Daniel, pensent que les Sumériens seraient d’origine iranienne (source Wikipédia). Bref, le mystère demeure.

 

Ci-dessus : Le « Disque du prince Sabu » exposé au Musée du Caire et sensé être un vase pour nénuphar ou un objet de culte (en haut à gauche reconstitution numérique en 3D, en haut à droite et en bas, l’original). Présenté à des ingénieurs, ces derniers pensent plutôt que cet objet pourrait être une pièce de moteur. Il a été découvert lors de fouilles archéologiques menées en 1936 par Walter Bryan Emery, un égyptologue spécialiste des mastabas de Saqqarah. Cet ustensile mystérieux se trouvait dans la tombe 3111, au cœur de la Mastaba de Sabu qui date de plus de 3000 ans avant J.C. Sabu était peut-être le fils d’Horus Adjib, pharaon de la Première Dynastie. Comme on le voit sur les photos, l’artefact circulaire est percé d’un axe vers lequel convergent trois lobes profilés. L’objet présente un diamètre de 61 cm. Sa hauteur est de 10 cm. Il a été restauré pour être exposé sous son aspect actuel au Musée du Caire. Cet objet hors du commun étonne par son design technologique. Il évoque un « disque-hélice » sorti tout droit d’un atelier industriel. Il s’agit en tout état de cause d’une pièce unique qui frise l’anachronisme par son audace. La roue, dont le concept est moins sophistiqué que celui de ce disque, ne serait apparue que 15 siècles plus tard puisque les égyptiens n’étaient pas sensés la connaître.

 

.6) Des civilisations très évoluées dans un lointain passé ?

Pour conclure ce court dossier consacré aux mystères de l’Egypte ancienne, nous sommes en droit de nous poser la question suivante : l’archéologie officielle a-t-elle une vision juste des civilisations anciennes ? N’est-elle pas victime de préjugés et d’a priori ? Les travaux de Jacques Grimault et le Film « La Révélation des Pyramides », offrent sans aucun doute l’occasion de s’interroger sur nos connaissances actuelles en ce qui concerne les civilisations du passé. Le film est une réflexion percutante et stimulante sur la façon dont nous interprétons les vestiges des anciennes civilisations à la lumière de nos connaissances actuelles. La doctrine officielle enseigne que notre civilisation technologique et scientifique est très certainement la seule civilisation évoluée qui soit apparue sur notre planète. Pour elle, toutes les autres civilisations étaient nécessairement moins évoluées puisse qu’elles n’utilisaient pas le téléphone portable, elles ne connaissaient pas la télévision, la voiture automobile, l’ordinateur et Internet. Cette façon de penser n’est-elle pas une forme déguisée de l’anthropocentrisme, version civilisation ? L’homme a longtemps cru que la Terre (géocentrisme), et lui-même (anthropocentrisme), occupaient le centre de l’Univers. De même, nous croyons volontiers aujourd’hui que notre civilisation industrielle et technocratique représente le nec plus ultra en matière de civilisation. Nous estimons que nous sommes au sommet de l’évolution humaine, du moins c’est ce qu’enseignent les émules de Darwin. Et si cette façon de concevoir l’histoire des civilisations terrestres était erronée ? Et si la doctrine officielle n’était qu’un ensemble de dogmes et de croyances ne reposant que sur des approximations, des incertitudes et beaucoup d’ignorance ? La doctrine officielle est-elle prête à revoir ses certitudes et à étudier avec un œil neuf, et sans a apriori, les faits qui sont présentés dans le film de Patrice Pooyard ? Va-t-elle les balayer d’un revers de la main avec mépris et condescendance, ou va-t-elle au contraire reconnaître qu’elle est loin de tout savoir ? Le succès du film sur Internet montre à l’évidence que le public est avide de connaissances et de vérité. Il ne faut pas sous estimer cet engouement. C’est d’ailleurs un signe plutôt encourageant qui montre que nous sommes (nous les citoyens qui finançons avec nos impôts l’égyptologie officielle) encore capables de nous émerveiller et de nous poser des questions. Est-il si absurde et inconvenant de penser que des civilisations au moins aussi brillantes que la nôtre sont apparues à la surface de notre globe dans un loin passé ? Et si ces civilisations ne disposaient pas des mêmes outils que nous, ne pouvaient-elles pas maîtriser des techniques dont nous n’avons plus aucune idée aujourd’hui ? Est-ce faire offense à la raison que de poser ces questions ?

Daniel Robin (avril 2013).

 

Le film : LA REVELATION DES PYRAMIDES. Quelle est l'origine de ces extraordinaires constructions qui ont défié le temps et les éléments ? Tombeaux, ou horloge sidérale, les pyramides sont dépositaires d'un formidable secret.  Présentation exceptionnelle du film « événement » de Patrice Pooyard. 

Voir le film : http://skystars.unblog.fr/documentaires-ovni/la-revelation-des-pyramides/

 

Monsieur Jacques Grimault, ingénieur-conseil en communication, est l’auteur de découvertes qui l’ont envoyé enquêter partout dans le monde et en « solo » pendant près de quarante ans, loin des systèmes et des organisations, des groupes et des institutions, des modes et des refrains médiatiques.

De solide formation polyvalente, extrêmement bien documenté et discret, ses vues profondes et originales et ses découvertes sont devenues un documentaire de cinéma : « La Révélation des Pyramides ».

De l’Egypte à l’Ile de Pâques, du Mexique à la Chine, ce documentaire/thriller d’exception pose la question essentielle de savoir ce qui se passe vraiment sur la Terre ; sommes-nous en présence d’éléments étrangers à l’espèce humaine ? Depuis quand ? D’où ? Qui ? Pourquoi ?

Il ne s’agit pas là d’une théorie de plus mais d’une démonstration à caractère scientifique, exclusivement basée sur des faits concrets, accessibles et vérifiables par tous à tous moments.

Renouvelant entièrement les perspectives historiques et culturelles de la présente humanité, ce film donne - enfin - les bases factuelles et culturelles les plus solides qui manquaient à celles et ceux qui ont toujours eu l’intuition que l’histoire de la Terre n’est pas celle qu’on leur raconte dans les manuels de l’archéologie officielle.

Après ce film, personne ne pourra désormais nier cela sans passer pour un inculte ou un négateur par principe : il s’agit là d’une authentique et profonde révolution.

 

 

Le film « LA RÉVÉLATION DES PYRAMIDES » est un documentaire de cinéma (148 minutes) retraçant le cheminement de son réalisateur, Patrice Pooyard, autour des mystères de la Grande Pyramide de Gizeh, en Egypte, jusqu’à sa rencontre avec un " Informateur " - l’auteur de ce formidable travail de recherche, Jacques Grimault - qui lui en livre une petite partie - fruit de 40 années de recherches sur le sujet - toutes originales et démontrées.

Conduite à la manière d’une enquête policière, où la raison valide ce que découvre l’intuition, le spectateur évolue de surprises en réflexions profondes.

Il y découvre ainsi ce que révèle la Grande Pyramide selon cet Informateur, si on la considère comme un objet géométrique, ce qui permet ensuite de découvrir la métrologie antique, qui coordonne trois référents : la coudée égyptienne, les deux constantes mathématiques Pi et Phi - le fameux Nombre d’or - et, énormité pourtant démontrée, le mètre !

La Grande Pyramide ainsi comprise et complétée permet de découvrir un équateur penché à 30° par rapport à l’axe de la Terre, où se trouve inscrit un très grand nombre des plus importants sites de l’Histoire des Hommes, ceux-ci apparaissant reliés les uns aux autres par des rapports issus du Nombre d’or et en relation directe avec le Nord géomagnétique de la Terre, point physique invisible, et seulement localisable avec nos technologies modernes. Or ce pôle géomagnétique est en étroite relation avec le cycle astronomique dit de précession des équinoxes, qui conditionne le climat terrestre ; que le site de Gizeh, le Sphinx - la plus grande statue du monde - et les grandes pyramides fonctionnent comme l’horloge temporelle de notre planète, et indiquent en temps sidéral le moment où nous devrons affronter de grands changements, dont les prémices sont actuellement sensibles, et de plus en plus (tremblements de terre, éruptions volcaniques, ouragans et tsunamis aussi dévastateurs qu’imprévus, etc.) et enfin, qu’il existe des solutions à mettre en œuvre collectivement et sans tarder.  

La Révélation des Pyramides est regardé maintenant plus de 20 000 fois par jour autour du monde, et fait désormais partie du Top-ten des documentaires long-métrage les plus vus de tous les temps, comme l’affirme YouTube.

 

On pensait que tout avait été dit sur la Grande Pyramide de Khéops, jusqu’au jour où l’on se rendit compte que des faits avaient été ignorés par l’égyptologie. Au cours d’une enquête visant à déterminer les techniques de construction employées par les anciens égyptiens pour construire leurs pyramides, l’auteur de ce documentaire découvre une réalité différente des idées reçues en la matière, et qui l’emmène au-delà de ce que nous pouvions imaginer sur l’origine de la Grande Pyramide.

Ce reportage repose sur des faits, et conduit le spectateur dans une aventure qui va l’emmener sur les sites archéologiques les plus anciens et les plus énigmatiques de notre planète, la Terre, aux confins de notre civilisation, pour enquêter sur le pourquoi de la Grande Pyramide de Gizeh.

Pour la première fois, vous allez être les témoins directs d’une découverte majeure, et que vous adhériez ou non aux conclusions faites dans ce documentaire, jamais plus vous ne regarderez notre planète et les civilisations anciennes du même œil.

L’affaire qui nous occupe est la suivante : sur notre planète, le plus gros chantier de construction de l’antiquité est aussi le plus complexe. Nous n’avons aucun témoignage direct, ni aucun document relatant sa construction. Faute de preuves, une hypothèse basée sur des suppositions a été avancée, jugée satisfaisante, puis acceptée.

L’affaire a donc été classée, et cette théorie non démontrée est devenue la vérité (la vérité officielle) avec le temps et l'ignorance surtout. C'est devenue la " doctrine " officielle admise par tous," gravée " en quelque sorte dans les manuels scolaires et enseignée dans les universités. C'est une " vérité " que personne n'ose remettre en question, car ce n'est pas sans danger de vouloir braver la doctrine officielle et de montrer qu'elle comporte des failles. 

Dans la partie 1 de ce documentaire, certains faits de la théorie officielle ont été sérieusement mis à mal, notamment sur l’outillage des bâtisseurs.

Tout enquêteur a recours à un informateur, et c’est grâce à une personne de ce genre que l’auteur de ce documentaire a pu trouver des indices et les relier.

Dans toute affaire criminelle, on peut rarement comprendre un crime sans avoir découvert son mobile. Il en va de même pour la Grande Pyramide de Gizeh. Son actuel et unique pourquoi, sujet non discutable pour l’égyptologie, est d’être le tombeau du pharaon Khéops. Or, aucun tombeau n'a était retrouvé dans la Grande Pyramide.

Un édifice d’une stupéfiante précision, orienté à 0,05° près sur le pôle Nord, marquant très précisément les équinoxes, à l’architecture intérieure complexe et mystérieuse, serait totalement incompréhensible s’il s’agissair d’un simple tombeau destiné à recevoir la dépouille d'un monarque.

Beaucoup ont pressenti que la Grande Pyramide pouvait être autre chose qu’un simple tombeau, mais il leur manquait les liens, et surtout le pourquoi. Il semble bien que l’informateur de l’auteur de ce documentaire passionnant ait découvert ce « pourquoi », et vous allez le découvrir dans ce film.

 

 

 

 

Compte rendu de la soirée du vendredi 8 février 201.  

Conférence de Monsieur Fabrice Bonvin.

Thème de la conférence :

L'ATOME, LA CONSCIENCE ET LES OVNIS

Pourquoi les ovnis survolent-ils les sites nucléaires civils et militaires ?

Nous avons eu le plaisir d'accueillir à Lyon un jeune, sympathique et brillant ufologue. C'est, selon nous, un esprit qui marquera l'ufologie de son empreinte par l'originalité et l'audace de ses travaux. Fabrice Bonvin est titulaire d’un master en psychologie de l’Uuniversité de Genève (Suisse), spécialiste des ovnis et des phénomènes connexes. Fabrice étudie et enquêtes sur les apparitions d’ovnis depuis plus de vingt ans tout en établissant des passerelles entre savoirs indigènes et ufologie. Ses recherches l’ont amené à développer un modèle explicatif du phénomène ovni, le modèle de " l’hypothèse Gaïa " appliquée au phénomène ovni. Auteur notamment de « OVNIs - les Agents du Changement », et « OVNIs - Le Secret des Secrets », Directeur du MUFON pour la Suisse, il est également contributeur de nombreuses revues spécialisées telles que Nexus, UFOmania, ou Le Monde de l’Inconnu.

Le compte-rendu de Florence (journaliste) qui a assisté à la conférence de M. Fabrice Bonvin : L'ATOME, LA CONSCIENCE ET LES OVNIS.

Un texte de Fabrice : LA MATRICE ECOLOGIQUE DES OVNIS.

 

Ci-dessus : notre invité, Monsieur Fabrice Bonvin, en compagnie de Monsieur Daniel Robin, Organisateur des Rencontres des Sciences et de l'Inexpliqué.

Ci-dessous : Fabrice expose devant un public attentif la connexion qui pourrait exister entre le phénomène ovni et les extases de type chamanique. 

C'est en effet dans des états altérés de conscience qu'apparaissent des visions dans lesquelles se manifestent des entités extraterrestres.

 

 

 

 

Compte rendu de la soirée du mardi 27 novembre 2012.  

Conférence de Monsieur Jérémie Filet.

 

Thème de la conférence :

UNE SOMBRE HISTOIRE DE MATIERE ET D’ENERGIE.

Les mystères de l’énergie sombre et de la matière noire.

 

 

1) Une des plus grandes énigmes de la cosmologie moderne. Cela fait déjà quelques temps que nous entendons parler d’une mystérieuse et insaisissable énergie sombre, ou énergie noire (à ne pas confondre avec la matière noire), de nature totalement inconnue. Cette histoire d’énergie sombre a mis en effervescence la communauté des cosmologistes qui a été surprise par l’inattendue accélération de l’expansion de l’Univers. Ce sujet est devenu l’une des plus grandes énigmes de la cosmologie, et déclenche des débats passionnés. Pour ma part, j’ai pris connaissance de cette question au début de l’an 2000 alors qu’elle circulait encore sous la forme d’une simple rumeur. Certains scientifiques voyaient déjà dans cette énergie sombre une espèce de 5ème force qu’ils avaient alors baptisé « la quintessence ». La « quintessence » est le nom donné à une forme hypothétique d’énergie sombre, proposée comme explication aux observations de l’accélération de l’expansion de l’Univers. Cette nouvelle force agissait comme une gravitation répulsive.

 

2) Comment se manifeste la présence de la matière noire ? Comme nous l’avons dit, il ne faut pas confondre énergie sombre et matière noire. Si l’énergie sombre semble responsable de l’accélération de l’expansion de l’Univers, la matière noire exercerait un étrange effet sur la rotation des galaxies. On peut calculer à partir de la quantité totale de matière visible dans une galaxie, la vitesse radiale d’une étoile et sa période. Les étoiles qui orbitent dans les zones extérieures d’une galaxie doivent en principe tourner moins vite que celles qui se trouvent près du centre de cette même galaxie. Dans notre système solaire par exemple, Pluton qui est très éloignée du Soleil, tourne moins vite que Mercure qui en est plus proche. Il s’agit, bien entendu, de la vitesse de révolution autour de notre Etoile. Si nous calculons, pour n’importe quelle galaxie, les vitesses que doivent avoir les étoiles situées en périphérie d’après la masse galactique visible, nous trouvons qu’elles sont très supérieures à celles attendues. Quand on sait que la vitesse d’un objet en orbite décroît avec la distance par rapport au centre du système, on ne peut que supposer l’existence d’une matière invisible qui serait présente dans tout le volume galactique et qui devrait avoir une masse très importante. Si Pluton tournait autour du Soleil à la même vitesse que la Terre, c’est-à-dire à 30 km par seconde ou 108 000 km/h, alors qu’elle en est 40 fois plus éloignée, il faudrait forcément en déduire qu’il existe « quelque chose » de massif qui se trouve quelque part près des géantes gazeuses (Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune). A l’échelle galactique, ce « quelque chose » s’appelle de la matière noire.

 

Ci-dessus : On peut calculer à partir de la quantité totale de matière visible dans une galaxie, la vitesse radiale d’une étoile et sa période. Les étoiles qui orbitent dans les zones extérieures d’une galaxie doivent en principe tourner moins vite que celles qui se trouvent près du centre de cette même galaxie. Si nous calculons, pour n’importe quelle galaxie, les vitesses que doivent avoir les étoiles situées en périphérie d’après la masse galactique visible, nous trouvons qu’elles sont très supérieures à celles attendues. Ce fait intrigua beaucoup les astronomes qui en déduire l'existence d'une mystérieuse matière noire.

 

3) Les « candidats » susceptibles d’expliquer la matière noire. L’imagination déborde, les idées fleurissent, les esprits s’enflamment, et une campagne de recherche est lancée pour trouver des « candidats » potentiels capables d’expliquer cette mystérieuse matière noire. Les astronomes ont alors évoqué les trous noirs et les « MACHO » (Massives Astrophysics Compacts Halo Objects) pour tenter d’expliquer la présence de la matière noire dans les galaxies. Les « MACHO » sont des astres très peu lumineux du genre Trou noir ou Naine brune par exemple, ces dernières sont réellement des étoiles « ratées » car elles n’ont pas réussi à accumuler suffisamment de matière pour déclencher des réactions thermonucléaires comme le fait notre Soleil. Les « MACHO » peuvent être associés à de la matière noire invisible mais baryonique. Les astronomes se sont aperçus que cette matière baryonique ne suffisait pas à expliquer le mouvement des amas de galaxies. Rappelons que la matière baryonique désigne toute la matière composée de particules élémentaires appelées baryons. En pratique, cela correspond aux protons, et aux neutrons, auxquels on adjoint implicitement les électrons (qui ne sont pas des baryons, mais des leptons) qui composent les atomes et les molécules et toutes les structures visibles dans l’univers observable (étoiles, galaxies, amas de galaxies, etc.). Comme la matière baryonique ne suffisait pas, les astronomes ont du faire appel à l’existence d’une matière noire qui non seulement n’est pas visible mais qui en plus n’est pas constituée de baryons. Ceci nous amène à un nouveau type de candidat : les WIMP (Weakly Interacting Massives Particles ou particules massives à interaction faible). Pour ceux qui comme moi ont du mal avec la langue de Shakespeare, on fait tout simplement allusion à des particules qui interagissent faiblement avec la matière du genre neutrino ou autres particules exotiques issues de l’imagination fertile des physiciens. Mais là aussi, ça ne donne rien du tout.

 

4) Des « chandelles » qui ne sont pas là où elles auraient dû être. Mais revenons à l’énergie sombre. C’est en étudiant de lointaines supernovae de Type 1A qui sont de véritables chandelles standard (parce qu’elles ont la même luminosité absolue), que le problème de l’énergie sombre à surgit en 1998. Deux équipes américaines ont mené chacune de leur côté des études sur ce type de supernovae, et elles ont découvert à leur grand étonnement qu’elles avaient des distances totalement inattendues. Bref, elles n’étaient pas là où elles auraient dû être. Elles étaient plus éloignées que prévu. Cela signifiait que l’Univers était en train de gonfler plus rapidement que ne le prédit la théorie. Dans la communauté des cosmologistes on a alors évoqué des concepts comme l’énergie du vide, la constante cosmologique, on a parlé d’antimatière, d’anti-cosmos, et même d’univers-miroir. Les chercheurs ont essayé de démystifier cette curieuse et nouvelle force qui accélère l’expansion de l’Univers et qui représente environ 73% de son contenu total. Le reste de l’Univers étant composé pour 23% de matière noire baryonique et non baryonique, et pour seulement 4% de matière visible que l’on connaît habituellement sous formes de gaz interstellaires, d’étoiles, de planètes, de galaxies, et d’amas de galaxies. Autrement dit, 96% de l’Univers nous est complètement inconnu (énergie sombre et matière noire). Cet étonnant constat peut nous laisser la désagréable impression que la science piétine en quelque sorte, puisque plus on avance dans les recherches, et plus de nouveaux points d’interrogation se dressent devant nous. Bref, cette force inconnue, se moquant de la gravité, donne aux galaxies lointaines un formidable élan, et comme on ne connaît pas sa nature on l’a appelé énergie sombre ou énergie noire. Ce que nous savons cependant, c’est que l’évolution future de notre Univers dépend entièrement d’elle.

 

Ci-dessus : notre Univers serait composé à 73% d'énergie sombre, pour 23% de matière noire baryonique et non baryonique, et pour seulement 4% de matière visible que l’on connaît habituellement sous formes de gaz interstellaires, d’étoiles, de planètes, de galaxies, et d’amas de galaxies. Autrement dit, 96% de l’Univers nous est complètement inconnu (énergie sombre et matière noire). 

 

5) Un Univers qui « grossit » plus vite que prévu. Ce qui est intéressant avec les supernovae de type 1A c’est qu’elles brillent comme des milliards de soleils en présentant une courbe de lumière régulière et uniforme, contrairement aux supernovae de type 2 ou de type 1B ou 1C. Les céphéides qui sont des étoiles de luminosité très variable nous servaient de balises cosmiques pour estimer des distances, mais les supernovae plus lumineuses sont plus intéressantes car plus lointaines. Les cosmologistes ont pris un échantillon d’une cinquantaine de supernovae de Type1A et ils ont calculé leur distance. Il existe un paramètre cosmologique qui s’appelle le « facteur de décélération de l’Univers » qui est en fait la dérivée du taux d’expansion de l’Univers (fonction lui même de la distance et la vitesse de fuite des galaxies lointaines). Ce taux d’expansion est la constante de Hubble, dont vous avez certainement déjà entendu parler. Le facteur de décélération ayant été mesuré, il est une conséquence de la gravité qui existe entre les galaxies. Il s’agit en d’autres termes du taux de ralentissement de l’expansion. Or, quand les astronomes ont évalué la distance de ces supernovae, ils se sont rendu compte, à leur grand étonnement, que cette décélération n’avait pas eu lieu puisque les supernovae étaient emportées beaucoup plus loin par une folle expansion. Quel phénomène pouvait bien être responsable de cet emballement inattendu ? Quelle était cette « chose » étrange qui ignorait la gravité ? Celui (ou celle) qui sera en mesure de répondre à ces questions, sera assuré de décrocher un prix Nobel de physique, mais il sera sans doute aussi nécessaire de réviser nos paradigmes en physique pour sortir de l’impasse dans laquelle nous sommes aujourd’hui.

Jérémie.

 

 

 

 

Compte rendu de la soirée du mardi 16 octobre 2012.  

Conférence de Monsieur Denis Roger Denocla.

 

Ci-dessus : Denis Roger Denocla à gauche et Daniel Robin à droite. Notre amis Denis, a présenté au public lyonnais les derniers résultats de ses travaux sur le dossier UMMO. Cette étrange affaire n'a pas fini d'intriguer la communauté des ufologues et de susciter de vives débats. Elle est d'une telle complexité, qu'il est difficile de simplement la rejeter en disant que ce n'est qu'une vaste manipulation. Pour preuve, des découvertes scientifiques auraient été faites grâce à l'étude des lettres UMMITES.

Thème  de la conférence :

« PRESENCE - ovnis, les crop circles et Exo-civilisations »

Le film « PRESENCE - ovnis, les crop circles et Exo-civilisations » divulgue pour la première fois des résultats de recherche étonnants :

-1) Les Crop Circles décideurs identifiés.
-2 18 espèces d'E.T. décrites en détail.
-3) Les voyages ovnis expliqués.
-4) Le mystère de la matière noire résolu.

Une enquête inédite sur l’origine des Crop Circles, un extraordinaire panorama de nos visiteurs d’outre-espace avec sources documentaires, une cosmologie révolutionnaire, un Manifeste pour la Reconnaissance des Exocivilisations, le secret du déplacement des ovnis, des brevets d’engins spatiaux antigravitationnels, le premier décodage d’une langue extraterrestre.

Plus d’informations sur le DVD : http://www.denocla.com/?p=463&lang=fr

  

Monsieur Denis Roger Dénocla :

DIAPORAMA DE PRESENTATION

 

Ci-dessus : nous avions déjà reçu Denis à Lyon, le lundi 22 mars 2010, dans le cadre des Repas Ufologiques Lyonnais.

 

 

 

 

Compte rendu de la soirée du mardi 25 septembre 2012.  

Conférence de Monsieur Thierry Gay.

Thème : 

la divulgation ufologique aux Etats-Unis.

le « Projet Révélation » et les « blacks programs » US.

 

Ci-dessus : notre invité, Thierry Gay à droite, et Daniel Robin, organisateur des Rencontres des Sciences et de l'Inexpliqué, à gauche.

 

Ci-dessus : notre invité, Thierry Gay, peut être considéré comme l'un des meilleurs spécialistes français du Projet Révélation de Mr Steven Greer .

 

Mr Steven Greer débute en 1993 un énorme projet très ambitieux et novateur sur  la scène ufologique mondiale. Cette vaste entreprise de divulgation de la vérité au sujet des ovnis porte le nom de « Projet Révélation ». Pour parvenir à ses fins, Mr Greer décide, avec une petite équipe de collaborateurs, de réunir des témoins clefs hautement crédibles.

Ces différents témoins ont exercé pendant leur carrière des responsabilités au plus haut niveau dans les sphères de l’administration américaine : la NSA, NRO, NASA, CIA, Us Air Force, Us Army, Us Navy. Mr Greer a réuni plus de quatre cents témoins. Ils attendent toujours d’être auditionnés pas le Congrès américain.

L’objectif avoué de cette enquête inédite est de divulguer aux contribuables américains le « cover-up » sur un sujet très controversé : l’argent détourné par le gouvernement, les secrets sur des technologies exotiques (anti-gravité, dématérialisation, énergie du point zéro, et..). Le sujet des « blacks programs » (projets noirs et ultra-secrets) est également au cœur du débat.

Cette mouvance de « Divulgation » et de « Révélation » outre Atlantique a généré de nombreuses conférences à travers le monde, avec des invités qui n'hésitaient pas à révéler des informations classées sur des projets cloisonnés. Technologies « exotiques », rétro-ingénierie, projets cloisonnés. La révélation des secrets les mieux gardés des Etats-Unis est-elle proche ?

 

Plus d'informations du le Projet Révélation : http://disclosure.free.fr/description/

 

Depuis son  plus jeune âge, Thierry a toujours été intéressé par les mystères : triangles des Bermudes, NDE. C'est un passionné d'aéronautique qui connaît les secrets des plus prestigieux et des plus énigmatiques avions des forces aériennes américaines : le SR-71 Blackbird, le Lockheed-Martin F-117 Nighthawk, et le Northrop B-2 Spirit. Cependant, l’ufologie restait le sujet le plus important à ses yeux. En 1978 il commence à lire des ouvrages sur les « soucoupes volantes ». Désormais, le « virus » de l’ufologie ne le quittera plus. Thierry a assisté à de nombreuses conférences sur le phénomène ovni. Il est convaincu qu’il y a plusieurs voies à explorer dans ce domaine, mais l’hypothèse extraterrestre est pour lui la plus forte, c’est-à-dire celle qui rend le mieux compte de ce que nous observons. D’autres voies sont possibles telles celles des visiteurs d’autres dimensions ou des voyageurs du temps. Enquêteur indépendant, il a enregistré depuis 1978 de très nombreux témoignages oraux sur le phénomène ovni.

C'est avec beaucoup de plaisir que nous avons accueilli Thierry qui a fait devant le public lyonnais une conférence remarquable. Nous avons été séduits par la qualité des documents présentés et par la pertinence de ses analyses. Thierry connaît « sur le bout des doigts » si je puis dire son sujet, et il a magistralement démonté les mécanismes complexes qui président à la divulgation d'informations sensibles sur la question des ovnis aux Etats-Unis. Sans exagérer, nous pouvons dire qu'il peut être considéré comme l'un des meilleurs spécialistes français du Projet Révélation.

  

Ci-dessus : le SR-71 Blackbird est un avion qui possède des caractéristiques si novatrices par rapport aux avions du même type qui l’ont précédé, qu’il a peut-être bénéficié, au moment de sa conception, d’un apport de technologies exotiques, ou rétro-ingénierie. Sous bien des aspects, les performances de cet avion exceptionnel restent inégalées. De ce point de vue, le SR-71 Blackbird concrétise une sorte de bond technologique non-conventionnel dans le domaine de l’aéronautique. Peut-être a-t-il bénéficié des connaissances acquises par les scientifiques qui ont eu la chance de pouvoir étudier les disques volants récupérés à Roswell et ailleurs ? C'est du moins ce que pense Thierry.

 

DOSSIER SPECIAL :

http://www.lesconfins.com/SR71RETROINGENIERIE.pdf

- 1) LE SR71 ET LA RETRO-INGENIERIE

Ou comment tirer profit d’une technologie exotique.

Un article de Monsieur Thierry Gay.

- 2) Le Falcon HTV-2, un exemple de l’avance technologique de la firme Lockheed-Martin.

- 3) Lockheed Martin, le « Big Brother » du complexe militaro-industriel américain.

Compte-rendu de la conférence par M. Jean-Pierre Troadec sur le site de l'IHEDN :

http://ihedn-rl-ar14.news.over-blog.com/article-les-blacks-programms-us-111347864.html

 

 

 

 

Compte rendu de la soirée du mardi 19 juin 2012.

Conférence de Monsieur Jean-Claude Sidoun.

Thème : Ovnis dans l'espace.

Ovnis et conquête spatiale des révélations étonnantes.

Jean-Claude Sidoun nous a présenté son nouveau livre :

« OVNIS DANS L’ESPACE »

Publié aux éditions Le Temps Présent, collection Enigma, février 2012.

  

A la grande époque de la conquête spatiale américaine, les astronautes ont été confrontés à un problème déconcertant : leurs vaisseaux spatiaux étaient fréquemment « accompagnés » ou « surveillés » par d’étranges objets aux capacités technologiques dépassant largement celles des vaisseaux humains. Il ne s’agit pas là d’affirmations fantaisistes, mais de faits parfaitement établis d’après les déclarations de témoins dignes de foi. Côté russe, la chute de l’empire soviétique a permis de prendre connaissance de nombreux documents inédits et hautement révélateurs. Côté américain, des astronautes et non des moindres, puisque plusieurs sont allés sur la Lune, ont osé briser le mur du silence et révéler au public leurs rencontres avec des engins d’origine non-humaine. Après une longue enquête dans les archives des deux pays, Monsieur Jean-Claude Sidoun nous présente dans son nouveau livre un compte rendu détaillé et pour le moins surprenant de la face cachée de la conquête spatiale. Oui, nous pouvons affirmer aujourd’hui : « ils n’étaient pas seuls la-haut ! ». Documents à l’appui, Jean-Claude Sidoun démontre avec toute la rigueur requise pour un sujet aussi délicat que cette affirmation est une réalité qui a longtemps été dissimulée par la Nasa. 

 

Ci-dessus en haut : Jean-Claude Sidoun et Daniel Robin aux « Rencontres des Sciences et de l’Inexpliqué » le 19 juin 2012. Un grand moment pour les RSI de Lyon. Ci-dessus en bas : Jean-Claude sur scène lors de sa conférence expliquant les anomalies de conquête lunaire à un public curieux et médusé.

 

Ci-dessous : interview de Jean-Claude Sidoun par Jean-Pierre Troadec à Lyon en juin 2012.

Jean-Claude Sidoun (1) était de passage à Lyon, le 19 juin 2012, pour une conférence exceptionnelle, au cours de laquelle il a décrypté les photographies de la NASA des missions Mercury, Gémini et Apollo (2). D’étranges anomalies lumineuses sont constatées sur ces documents issus d’une période de laquelle on pensait tout savoir ! A la grande époque de la conquête spatiale américaine, les astronautes ont été confrontés à un problème déconcertant : leurs vaisseaux spatiaux étaient très souvent « accompagnés » ou « surveillés » par d’étranges objets aux capacités technologiques dépassant largement celles des appareils américains (et russes). Il ne s’agit pas là d’affirmations fantaisistes, mais de faits parfaitement établis, d’après les déclarations de témoins dignes de foi. Côté russe, la chute de l’empire soviétique a permis de prendre connaissance de nombreux documents inédits et hautement révélateurs. Côté américain, des astronautes et non des moindres, puisque plusieurs sont allés sur la Lune, ont osé briser le mur du silence et révéler au public leurs rencontres avec des phénomènes non explicables. Après une longue enquête dans les archives des deux pays, Jean-Claude Sidoun présente dans son nouveau livre un compte rendu détaillé et pour le moins surprenant de la face cachée de la conquête spatiale. Il l’affirme aujourd’hui : « ils n’étaient pas seuls là-haut ! Des anomalies ont été constatées ». Documents à l’appui, Jean-Claude Sidoun démontre avec toute la rigueur requise, pour un sujet aussi délicat, que cette affirmation est une réalité différente de celle connue et livre des perspectives qui découlent de ce constat.

L’écrivain précise « Ces archives sont à la portée de tous, il faut simplement prendre le temps de compiler les documents, souvent non encore totalement exploités, de la NASA (3). Idem pour la Russie. Des dizaines d’anomalie lumineuses apparaissent sur les photos officielles de la conquête spatiale. La NASA conclut toujours par l’explication d’étoiles qui apparaissent en arrière-fond. L’argument de déchets éjectés des modules spatiaux est parfois mis aussi en avant. Cela ne colle pas avec l’analyse des photos que j’ai faites réaliser. Les tailles, couleurs, trajectoires ne correspondent pas à des étoiles ni des déchets et encore moins à des artéfacts ou autre reflets. Ces derniers étant totalement repérables. Il s’agit d’autre chose ! Et puis il y a les témoignages des astronautes, qui une fois quitté le service actif contredisent encore les thèses de la NASA. Durant 20 ans j’ai travaillé sur ce sujet et j’affirme que sur bon nombre de photos officielles originales de la conquête spatiale, parfois censurées ou retouchées, certaines montrent des anomalies lumineuses que rien de naturel ne peut expliquer ». Jean-Claude Sidoun ne donne pas d’explication, mais demande à chacun de se forger lui-même son opinion et d’en tirer les conclusions. Il est vrai que les photos présentées, à l’époque sur support argentique, interpellent totalement l’esprit. Comme le dit Jean-Claude Sidoun « aucune enquête n’a été faite sur ces images, le temps était pris par l’analyse des vols, les expériences faites par les pilotes et la sécurité. Le reste était considéré comme secondaire ». Bizarre, vous avez dit bizarre !

La conquête lunaire et autre explorations spatiales étant mises en peu de côté par le gouvernement US, faute de crédits (version officielle), le fin mot de l’histoire ne semble pas d’actualité ; les priorités de l’Oncle Sam étant ailleurs pour le moment. Pour l’anecdote on a appris récemment que certaines archives de la NASA avait été purement et simplement effacées, pour cause de recyclage de bandes magnétiques - ou tout bonnement égarées - et que l’agence américaine, notamment pour fêter les 40 ans du premier pas de l’homme sur la Lune, en 2009, avait fait appel aux archives des télévisions US pour remonter des documentaires commémoratifs !

Jean-Pierre TROADEC.

Auditeur de l’Institut des Hautes Études de Défense Nationale. Commandant (Chef d’Escadron R.C.) Gendarmerie nationale.

1) Jean-Claude Sidoun est conférencier et écrivain. Il a été conseiller auprès du Centre National d’Études Spatiales, au sein du département du GEPAN, le Groupe d’Étude des Phénomènes Aérospatiaux Non Identifiés, basé à Toulouse. Il vient de publier aux Éditions Le Temps présent « Ovnis dans l’espace, ovnis et conquête spatiale des révélations étonnantes ». Il a présenté sa conférence dans le cadre des Rencontres des Sciences et de l’Inexpliqué. R.S.I. a pour ambition d’instaurer un échange entre les sciences classiques (physique, biologie, cosmologie, psychologie, anthropologie, etc..), et l’étude de tous les phénomènes qui restent pour le moment inexpliqués par ces mêmes sciences.

(2) Le programme Mercury est le premier programme spatial américain à avoir envoyé un homme dans l’espace. Il a été lancé en 1958, quelques jours après la création de l’agence spatiale américaine de la NASA et s’est achevé en 1963. S’ensuit, entre 1963 à 1966, le programme Gemini. Le programme Apollo, le plus connu, est le programme spatial de la NASA mené durant la période 1961 - 1975 qui a permis aux États-Unis d’envoyer pour la première fois des hommes sur la Lune. Il fut lancé par John F. Kennedy le 25 mai 1961, essentiellement pour reconquérir le prestige américain mis à mal par les succès de l’astronautique soviétique, à une époque où la guerre froide entre les deux superpuissances battait son plein.

(3) La NASA est le principal centre de recherche aérospatiale américain. Le budget affecté en 2011 à cette activité est de 579,6 millions de $ soit 3% du budget total. Ces fonds sont répartis entre cinq programmes de recherche : la sécurité aérienne, les systèmes aéronautiques, la recherche aéronautique, les tests et la recherche sur les systèmes intégrés. L'Agence spatiale fédérale russe qui était anciennement l’Agence spatiale russe est une agence gouvernementale responsable du programme spatial civil russe.

 

L’astronaute Charlie Duke tout près du cratère Plum durant la mission Apollo XVI. Alors que le Soleil se trouve face à lui, bien visible sur le casque qui le protège, un étrange objet lumineux visible à l’arrière plan, survole le site non loin de l’astronaute et semble éclairer cette scène.

 

 

 

 

 

Compte rendu de la soirée du lundi 14 mai 2012.

Conférence de Monsieur Pierre Thomas.

Thème : Mars et la vie.

  

Pierre Thomas est géologue, climatologue, professeur à l’Ecole Normale Supérieure de Lyon (ENS), chercheur au laboratoire des Sciences de la Terre de l’ENS Lyon, dans l’équipe Planétologie. C’est aujourd’hui un des meilleurs spécialistes français de planétologie. Au cours de sa riche et prestigieuse carrière, Pierre Thomas a eu l’occasion de travailler avec la Nasa. C’est aussi un conférencier très apprécié pour son « don » naturel à transmettre son savoir, parfois très ardu, dans la joie et la bonne humeur. Bref, c’est un Monsieur sympathique, truculent, qui aime la vie et ses mystères. Il possède aussi un humour " gaulois " si je puis dire, qui mélange sans vulgarité les allusions coquines et les images burlesques. Ci-dessus à gauche : Pierre Thomas et Jérémie Filet, animateur des " Rencontres ". Ci-dessus à droite : Pierre Thomas et Daniel Robin, organisateur des " Rencontres ".

     

Ci-dessus en haut : MSL-Curiosity aux mains des techniciens du Jet Propulsion Laboratory (JPL) de Pasadena, en Californie. (Nasa). Curiosity se déplace sur 6 roues, mesure 3 mètres de long et pèse 900 kg, c’est-à-dire environ le poids d’une petite voiture. Comme toutes les missions martiennes, Curiosity est une mission à hauts risques : se poser sur Mars, dans une atmosphère ténue, est complexe. Les précédents robots explorateurs, comme Pathfinder, Spirit et Opportunity, sont descendus en parachute. MSL étant trop lourd pour une telle descente, la Nasa a mis au point un nouveau système d’atterrissage : une fois entrée dans l’atmosphère et ralentie par un parachute, la capsule thermique larguera un module équipé de propulseur. Une fois stabilisé à 20 mètres de la surface, ce module fait descendre le rover MSL au bout de filins et le pose sur le sol. Un vrai exploit technologique et une première pour la Nasa. Ci-dessus en bas : vue d’artiste du rover Curiosity © NASA/JPL-Caltech.

Depuis qu'en 1965, on a vu que les canaux de Mars n’existaient pas, on a continué à envoyer de nombreuses sondes qui ont exploré Mars mieux qu’aucune autre planète. Qu’ont découvert les chercheurs (dont je suis - Pierre Thomas) qui travaillent sur ces données ? Un désert glacé fort intéressant pour les géologues, mais aucune trace probante de vie actuelle ou fossile, même si d’aucun veulent y voir des sphinx ou autres constructions en lieux et places des fantaisies de la nature. Mais tout espoir n’est pas perdu d’y trouver ... des « bactéroïdes fossiles », et pourquoi pas, avec de la chance, encore vivants. L’eau a coulé dans un passé lointain. L’eau liquide doit être présente dans le sous sol, qui semble localement rejeter du méthane. Alors ? Alors il faut continuer à chercher. Une opportunité s'offre à nous et les mystères de la vie sur Mars seront peut-être enfin résolus le 6 août 2012, date de l’arrivée sur le sol de la planète rouge d’un robot mobile particulièrement sophistiqué (MSL/Curiosity) conçu pour trouver d’infimes traces de vie. La planète Mars, qui ressemble aujourd’hui à un vaste désert rouge a-t-elle vu des formes de vie se développer il y a 2,5 à 3,5 milliards d’années, comme sur la Terre ? Ces organismes sont-ils encore présents sous forme fossile ? C’est la question centrale qui motive la mission Mars Science Laboratory (MSL), ou Curiosity. Cette mission qui a coûté 2,3 milliards de dollars à l’agence spatiale américaine est la plus ambitieuse de toutes les missions vers Mars.

 

 

 

 

Compte rendu de la soirée du mardi 17 avril 2012.

Conférence de Madame Sonia Barkallah.

Thème : Présentation du film intitulé « FAUX DEPART ».

Sonia nous a fait une très belle présentation de son documentaire sur les expériences de mort imminentes. 

Le film est un reportage exceptionnel de 90 minutes qui a été commenté avec beaucoup de professionnalisme 

et de conviction par sa réalisatrice (et aussi scénariste).

Un véritable événement pour tous ceux qui cherchent à percer le mystère des Expériences de Mort Imminente ou E.M.I.

 

     

 

Trente années se sont écoulées depuis que le Dr Raymond Moody a recueilli les premiers témoignages de ceux qui ont frôlé la mort. Ils sont des millions à travers le monde à nous raconter la même histoire troublante, comme la sensation de se détacher de son corps, assister à sa propre réanimation, entendre les chirurgiens parler entre eux, puis traverser un tunnel au bout duquel se trouve une extraordinaire lumière. Cette expérience a bouleversé leur vie, au point qu’ils ne craignent plus la mort.

Longtemps considéré comme obscur et assujetti aux railleries, le phénomène intéresse aujourd’hui de nombreux scientifiques, qui s’interrogent : Comment ces personnes ont-elles pu percevoir et mémoriser des scènes de leur réanimation alors qu’elles étaient inconscientes, dans le coma et parfois déclarées morte cliniquement ?

Ils sont cardiologues, neurologues, anesthésistes-réanimateurs, médecins ou psychologues, certains conduisent une étude, d’autres ont vécu eux-mêmes une expérience de mort imminente. Ils témoignent sans complexe pour lever un tabou qui se révèle être une mine de connaissance pour la science et pour l’Homme. Le colloque sur les EMI organisé en juin 2006 à Martigues a permis de franchir un nouveau pas. Pour la première fois en France, deux centres hospitaliers ont débuté une recherche.

Une nouvelle page de l’histoire des sciences s’écrit depuis une dizaine d’années suite à de nombreuses études menées à l’étranger et qui abandonnent définitivement l’hypothèse de l’hallucination pour s’orienter vers une possible délocalisation de notre conscience : l’ombre d’un nouveau paradigme se profile.

Pour en savoir plus sur le film : http://www.s17production.com/fr/Synopsis.asp

 

 

 

 

Compte rendu de la soirée du vendredi 16 mars 2012.

Conférence de Monsieur Jean-Pierre Girard.

Thème : L'action de l'esprit sur le vivant et la matière.

Affichette de la conférence

   

   

Ci-dessus : Monsieur Jean-Pierre Girard lors de son passage aux Rencontres des Sciences et de l’Inexpliqué. Nous avons eu le privilège d’accueillir à Lyon un homme exceptionnel sous certains aspects. En effet, Monsieur Girard est reconnu pour posséder une sorte de « pouvoir » psychique mystérieux capable d’agir sur la matière inerte et même sur les êtres vivants. Ce don qu’il aurait acquis après avoir été foudroyé à l’âge de 17 ans, serait d’après lui présent chez tous les êtres humains mais à l’état latent. Lors du séminaire qui a suivi sa conférence, Monsieur Girard à obtenu des résultats spectaculaires avec personnes qui ne pensaient pas, à priori, avoir ce don. Nous avons les témoignages de ces participants qui reconnaissent volontiers que ce fut pour eux une expérience unique et hors du commun.   

 

 

 

 

Compte rendu de la soirée du jeudi 23 février 2012.

Conférence de Monsieur Daniel Harran.

Thème : Les agroglyphes (ou crop circles)

Ces étonnantes créations du monde invisible.

 

Ci-dessus : Daniel Harran devant le stand où ont été présentés ses ouvrages et son DVD. Je rappelle que Daniel est est Docteur ès Sciences, Maître de Conférences en physique, et président de l'association Ecoute la Terre.

 

   

Ci-dessus : Daniel Harran devant le public lyonnais très intrigué par ces mystérieuses figures géométriques qui chaque année, en été, apparaissent dans les cultures du sud de l'Angleterre.

 

Pour en savoir plus sur  les travaux du Docteur Daniel Harran visitez son site Internet : http://ecoutelaterre.fr/

L'association Ecoute la Terre est partenaire des Rencontres des Sciences et de l'Inexpliqué.

 

Ci-dessus : le fameux agroglyphe qui est apparu sur le plateau le plus haut de Milk Hill, point culminant du comté de Wiltshire en Angleterre. Cette figure d'une très grande complexité est composée 409 cercles qui occupent une surface de 5 hectares (nuit du 11 août 2001). Certaines de ces figures énigmatiques représenteraient des formules chimiques, d'autres le système solaire au complet, ou même le nombre P (pi, π ) ou 3,141592654... Cependant, l'interprétation de ces formes géométriques n'est pas aisée. Même s'il a été constaté qu'elles étaient parfois construites sur des bases mathématiques rigoureuses, la clé qui permettrait une lecture non équivoque ne semble pas encore avoir été trouvée.

 

 

 

 

Compte rendu de la soirée du mardi 24 janvier 2012.

Conférence de Madame Nicole DRON.

Thème : Témoignage d'une expérience de mort imminente (E.M.I).

 

Ci-dessus : Nicole Dron et Daniel Robin.

 

Compte rendu de la conférence au format pdf

 

C’est avec beaucoup de joie que nous avons accueilli Madame Nicole DRON à nos « Rencontres », et c’est un grand honneur qu’elle nous a fait en acceptant notre invitation. Avant de m’entretenir avec elle de vive voix, j’avais déjà vu plusieurs émissions de télévision et lu de nombreux articles à son sujet dans lesquels elle avait raconté son incroyable « incursion » dans ce que, faute de mieux, j’appellerai l’« au-delà ». Pour moi, c’était l’une des expériences de mort imminente (E.M.I) la plus impressionnante et la plus profonde qu’il m’ait été donné de connaître. Tous ceux qui s’intéressent aux E.M.I, que ce soient les professionnels de santé (médecins, psychiatres), les chercheurs en neurosciences, les anthropologues, ou de simples personnes passionnées par ce sujet, reconnaissent que l’E.M.I de Nicole est d’une richesse exceptionnelle et qu’elle présente toutes les phases connues de ces expériences au seuil de la mort.

 

  

Ci-dessus : Nicole Dron aux « Rencontres des Sciences et de l’Inexpliqué ». Le récit en direct d’un témoin d’E.M.I est en soi un moment privilégié, surtout lorsque ce récit relate une expérience aussi puissante et profonde que celle de Nicole. Avec elle nous avons vécu un moment fort, parfois chargé d’émotions, que nous n’oublierons jamais.

 

La différence est grande entre écouter un récit d’E.M.I à la télévision ou le lire dans un livre, et voir et entendre le témoin en direct à trois mètres de soi. La perception et la compréhension de l’expérience n’est pas la même. Des informations « subtiles » passent entre le conférencier et son auditoire. L’intonation de la voix, la spontanéité de l’expression, le rayonnement du visage, l’émotion qui surgit à l’évocation de certains épisodes de l’expérience, le récit d’une anecdote que personne ne connaissait, les allusions à des bribes d’informations concernant le passé lointain de notre histoire et de notre planète (l’existence de l’Atlantide ou d’un hypothétique « règne des géants »), l’évocation d’un enseignement spirituel d’une exceptionnelle profondeur, tout cela concoure à faire de la conférence de Nicole un événement singulier, unique, et marquant. Un fait m’a intrigué : dès que Nicole à commencé sa conférence, bien installée sur son estrade, son visage c’est comme transfiguré. A ce moment précis, son expression n’était plus la même. J’avais l’impression qu’elle « rayonnait », au sens propre (comme si elle émettait de la « lumière ») comme au sens figuré (l’auditoire était sous le charme). Ma femme et ma belle-fille qui étaient au premier rang constatèrent ce même phénomène étrange. Quelques jours plus tard, en y réfléchissant, j’ai pensé, et c’est une pure hypothèse de ma part, que dès qu’elle commençait sa conférence Nicole se « connectait » en quelque sorte à la source lumineuse avec laquelle elle avait été en osmose lors de son expérience, et qu’elle était ainsi directement inspirée par elle. Un autre fait m’a touché : lorsque Nicole a évoqué sa « rentrée » dans la Lumière (sa « fusion » avec elle serait sans doute plus juste), j’ai perçu un bref sanglot d’émotion sur son visage et dans sa voix. C’était comme si elle revivait ici bas cette « phase transcendante » comme l’appelle les spécialistes, et qui est le cœur de son E.M.I. Il y a des signes d’authenticité qui ne trompent pas. Pour moi, rien ne remplace le récit en direct d’une expérience vécue, surtout lorsqu’il s’agit du récit d’une E.M.I. Le récit d’un témoin permet l’accès à la source de l’information avant toute interprétation ou théorisation ultérieures. De nombreux chercheurs ont constaté que les témoignages d’E.M.I avaient un impact non négligeable sur les personnes qui avaient l’esprit ouvert et qui écoutaient ces récits sans a priori. C’est comme si l’histoire du témoin avait une résonance spéciale dans la conscience de celui qui l’écoutait et lui rappelait « quelque chose » de familier. Peut-être s’agit-il de l’écho lointain, enfoui au plus profond de l’être humain, d’un état d’existence que tout homme aurait expérimenté avant de s’incarner sur terre. L’auditeur aurait-il le souvenir flou et voilé d’une vie non physique qu’il aurait vécu entre deux existences terrestres ? C’est une hypothèse qu’il ne faut pas négliger et qui pourrait expliquer, en partie du moins, l’« effet de contagion » propre aux témoignages d’E.M.I. 

Daniel Robin.

Organisateur des Rencontres des Sciences et de l’Inexpliqué.

 

  

  Ci-dessus : Le public visiblement impressionné par le récit de Nicole.

 

Si vous souhaitez avoir plus d’informations sur les Expériences de Mort Imminente, ou E.M.I, 

consultez notre « DOSSIER SPIRITUALITE N°1 » à l’adresse suivante : 

http://www.lesconfins.com/nde.pdf

 

 

 

 

Compte rendu de la soirée du mardi 22 novembre 2011.

Conférence de Monsieur Gilbert Attard.

Thème : Magnétisme : source de vie.

 

Compte rendu de la conférence au format pdf

 

Nous connaissions Gilbert en tant qu’ufologue, mais nous n’avions jamais eu l’occasion de le rencontrer en tant que spécialiste du magnétisme. Rappelons que Gilbert était un proche du regretté Jimmy Guieu, qui fut l’un des ufologues les plus populaires de sa génération et un écrivain de science-fiction prolixe (84 romans publiés de son vivant).  

C’est donc avec beaucoup d’attention et de curiosité que nous avons écouté la conférence de Gilbert, et nous n’avons pas été déçus, bien au contraire.

Tout l’intérêt de son exposé venait du fait qu’il n’est pas seulement un spécialiste (un théoricien si je puis dire) du magnétisme, mais qu’il est lui-même magnétiseur professionnel et qu’il à effectué des expériences fascinantes sur les végétaux en utilisant son don. Gilbert est donc un homme de terrain et un praticien expérimenté. Son don, qu’il met au service des autres, est réel, et il a permit de soulager et même de guérir des personnes qui étaient dans un état de santé critique.  

Dans ces conditions, nous avons assisté à une conférence vivante, dynamique, et illustrée par de nombreux et spectaculaires résultats pratiques. Documents photographiques à l’appui, nous avons pu constater combien les végétaux, les animaux, et les être humains, étaient sensibles aux champs magnétiques, qu’ils soient humains ou naturels. 

Selon nous, Il serait donc urgent que la science étudie en profondeur les mécanismes subtils qui entrent en jeu dans ces phénomènes qui sont responsables de ces résultats si impressionnants. De passionnantes expériences pourraient être imaginées qui permettraient d’élargir de façon considérable notre compréhension et notre vision de la nature, ainsi que les potentialités mystérieuses de l’être humain. 

Par ailleurs, indépendamment de sa conférence, nous avons apprécié les qualités humaines de Gilbert. Ce qui frappe chez lui, c’est sa modestie, sa cordialité, et son optimisme. Il est d’un abord facile, et sa simplicité naturelle permet d’instaurer, dès la première rencontre avec lui, un dialogue ouvert et fructueux. Non dénué d’humour, il sait « détendre l’atmosphère » si je puis dire, et il a l’art  de capter l’attention de son auditoire en relatant des histoires vécues avec son inimitable accent varois.  

 D’une façon générale, au-delà de l’aspect proprement « technique » du contenu des conférences, nous souhaitons que nos « Rencontres » soient aussi l’occasion de partager un moment de convivialité avec nos invités. Oubliant ce qui divise, et nous savons que trop combien nos semblables sont prompts à la querelle, nous voudrions, au contraire, mettre en évidence ce qui nous rapproche les uns des autres et créer, l’espace d’une soirée, un moment privilégié qui soit un vrai moment de « bonheur » si je puis dire.

Daniel Robin.

Organisateur des Rencontres des Sciences et de l’Inexpliqué.  

 

  

Ci-dessus : notre invité, Monsieur Gilbert Attard en compagnie de Monsieur Daniel Robin (a gauche), Jérémie Filet (au centre) et quelques amis (à droite).

 

 

 

 

 

 

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